Photos et vidéos marines

Carrick a écrit:

Un "modèle de ponton" réalisé à terre bien sûr.       Bien beau quand même !

Mais je ne sais pas ce que sont les deux boules pendant à la voûte.     Des flotteurs ?!

Une hypothèse, ces boues correspondent à un système de retrait /mise aux sabords des batteries de canons, assez répandu dans les modèles dits de ponton
(en réalité construits plus confortablement à terre)
Pierre

Bonjour,
Sur certaines images on s'y laisse prendre. Quelques erreurs de gréement, une remontée au vent irréaliste  mais j'ai trouvé l'ensemble sympathique.
A remarquer:pas de moteur.

https://www.youtube.com/watch?v=vaqMDtcf5ec

Bonjour,

L'aspect du modèle est correct pour un modèle navigant mais, nécessairement, le gréement n'est pas très réaliste. Sans parler de cette misaine trop courte.
Mais l'ensemble est plaisant, bonne trouvaille.

La manœuvrabilité est encore moins réaliste...Pas convaincu !

Toujours Tefaf...



Un E. Boudin.



Une vue de Scheveningen de 1640.

J'aime beaucoup !

maqars a écrit:La manœuvrabilité est encore moins réaliste...Pas convaincu !

A cette échelle, la moindre brise de vent se transforme en rafale.

Wpatrick a écrit:
A cette échelle, la moindre brise de vent se transforme en rafale.

Loin de moi d'en douter...mais loin de moi d'y adhérer...
J'ai des modèles navigants vapeur ou moteur et encore voile également, mais pas de faux vaisseaux à voile...

Bonjour,

Je confirme que les "boules" font partie d'un système à ficelles qui fait sortir les canons…

Exemple de descriptif d'un modèle vendu aux enchères :
"Maquette de frégate en os, ivoire et fanon de baleine sculpté, complet de son armement,. château arrière et figure de proue, pavillon anglais, socle en bois marqueté d'origine, mécanisme à ficelles faisant sortir légèrement les canons.
Travail de ponton probablement anglais, fin 18ème/début 19ème siècle."

Amicalement,

Thierry

Vaisseau Anglais.

Ce vaisseau anglais à la très lourde coque me parait un peu sous toilé, on ne voit pas sur la photo s’il peu bénéficier d’un vent cale.Si cela n’est pas le cas, les traversées devaient être laborieuses

En cherchant sur la toile, il apparaît que c'était un vaisseau de la fin du XIXe utilisé comme navire école.

Il semble être au mouillage.

Francis Jonet a écrit:En cherchant sur la toile, il apparaît que c'était un vaisseau de la fin du XIXe utilisé comme navire école.

Ah oui! Comme à Rochefort dans la première forme.un trois mâts de fantaisie pour amuser les enfants

C'est en fait comme tous nos vieux vaisseaux dépassés par l'arrivée de la vapeur en propulsion et qui eurent un sursis avant démolition en servant d'école navale. Plusieurs vieilles carcasses se sont succédées dans ce rôle, portant tous le nom de "Borda"
jusqu'en 1914 .

Faut dire que dans le genre « péniche » c’était réussi ! C’est comme aujourd’hui avec les sarcelles sur mer.

Voici un canon coulé en bronze aux Indes néerlandaises au 18 ème pour la VOC, et qui finit en 1835 dans les mains de Hadji Mahmoed Câlik.
Il trône avec son jumeau depuis plus de 50 ans à l'entrée d'un port qui fut célèbre pour son commerce depuis le 13ème  Où ?



L’affût est aussi ridicule depuis tout ce temps...

La grâce et la puissance d'une bisquine !

https://youtu.be/UC6ChT8U4E8

Le Coureur!!!

Je ne savais pas qu'il avait ressuscité!!

Quelle belle vidéo!

Merci beacoup.

Bonjour,
Le Belem est aussi très joli sous voiles au large de Tevenec.

C'est un beau bateau, dommage ces "balustres-à-la-château-de-Versailles" en guise de garde corps de poupe.
L'original était bien plus joli.

hé, ben...

https://voilesetvoiliers.ouest-france.fr/europe/suisse/lac-leman/video-impressionnant-dematage-d-un-voilier-pendant-l-orage-du-lac-leman-le-skipper-raconte-8d54f9f2-90fb-11e9-a471-be76e3a08380?fbclid=IwAR1XADHjUEf41n-FxVMmMsajZD0eLa4jp-QKmsQYF_w1rbH98lKHmdk5nG0

Oh pinaise....

C'est ce que l'on appelle "dessaler" dans une eau douce !
Sacrée surprise !

Le coup de tabac se voyait arriver de loin... La compèt déjantée, d'accord jusqu'à un certain point, l'inconscience et risquer la vie de ses équipiers, non !
Pas bravo au skipper.

Bonjour à tous,

Je suis depuis lundi au bord du Lac Léman à Montreux (où mon "gouvernement" participe à une réunion) et tout le monde en parle encore… A regarder la surface aujourd'hui, sous le soleil et 30° à l'ombre, on a du mal à imaginer un pareil temps !

Cliché pris lundi après-midi :



Cliché pris ce matin au bord du Lac : Freddie a bien résisté à la tempête...



La météo annonce de l'orage pour vendredi (mais pas aussi fort , heureusement)… je vais voir ce que cela donne.

Amitiés,

Thierry

maqars a écrit:Le coup de tabac se voyait arriver de loin... La compèt déjantée, d'accord jusqu'à un certain point, l'inconscience et risquer la vie de ses équipiers, non !
Pas bravo au skipper.

Sans me faire l'avocat du diable, mon idée diffère un peu de l'avis de Maquars.
Plaisancier voileux depuis plus de cinquante ans, j'ai connus quelques galères
mémorables, non pas par inconscience mais par des faits météorologique pas toujours métrisables où des courants comme en Bretagne qui lèvent la mer contre le vent..
Aujourd'hui beaucoup de progrès en météo ont rendu la vie plus facile lors de longues traversées, quoique?
La mer reste toujours imprévisible et demande une attention particulière.
Ici, sur le lac Léman, on découvre un orage soudain imprévisible et très puissant qui vient perturber une régate en cours.
Les régates de ce genre, de nos jours ne peuvent être que très encadrées, et si le départ à été autorisé,
c'est que le comité de course n'avait certainement aucun élément pour l'annuler.
Ici on assiste à un démâtage, malgré de bonnes réactions de l'équipage qui prévoit de rentrer le spinnaker, de rouler le gênois et de garder un peu de toile pour rester manœuvrant.
Dans cette aventure, mis à part les dégâts matériels, rien de grave bien heureusement.

OC’est curieux car en mer, en cas de coup de torchon peu ou pas prévisible, on dresse une voile « tempête » pour être manœuvrant. Hors, ici vu la vitesse du bateau, là grand voile reste etablie. Ayant parcouru la Méditerranée pendant 25 ans, je peux vous assurer qu’au grand jamais je n’aurais laissé cette voile très puissante établie. Il semblerait que le skipper ait été grisé par la vitesse.
Cependant convenons que nul n’est à l’abri d’une erreur, et cela a aussi fait partie de mes aventures maritimes