Modèle au 1/48 par Pierre Blanc

Bonjour.
Merci Gérard, je vais rectififier pour le placard bâbord.
Merci Michele pour les compliments, je ne connais pas l'italien mais j'ai compris.

g.besson a écrit:bonsoir Pierre,

Ce n'est pas le bordage qui fermait le placard?

Autant pour moi cette disposition est correcte.

Bonsoir.
Ce dispositif empêchait les pompes d'aspirer le calfat.

Oh !
Un tout petit calfat, alors, Pierre, qui pourrait passer dans les trous de la crépine !

Bonjour.
Il y a peu de chance que le calfat passe par les trous de la crèpine, cependant, si le calfat est extrait des coutures par les pompes ça peut être gênant.

Re-bonjour.


Vous remarquerez mon trusquin de course que j'ai fabriqué pour l'occasion. Je ne tiens pas à contacter le virus de la fièvre acheteuse propagé par certains dans ce forum, comme je ne tiens pas à plagier le modèle (de trusquin) présenté par Michele Padoan (qui pourrait me réclamer des droits). J'en ai conçu un à ma façon en utilisant l'alu comme matière première et muni d'un curseur savamment bricolé. Bon, je nai pas le 100 ème de millimètre mais je m'en bat l'oeil.

Carrick a écrit:
Oh !
Un tout petit calfat, alors, Pierre, qui pourrait passer dans les trous de la crépine !

Oui, mais sans ses outils alors

Complimenti Pierre per il truschino,quando oltre alla bravura c è anche l ingegno...

Compliments Pierre pour le trusquin, quand en dehors de d'habileté il y a du talent...

ça c'est du trusquin !!!

Bonjour,
pour améliorer ce trusquin, il serait bon que le réglet soit mobile. Dans le cas où le trusquin serait posé sur le plan de travail, cela permettrait de déplacer le réglet de la valeur de l'épaisseur du chantier.
Sans doute serait-il bon aussi d'avoir une base plus lourde et plus étalée pour une bonne assise.
Gérard

Bonsoir.
Un réglet mobile ne me servirais pas à grand chose par contre je suis d'accord pour une base plus lourde.

Je ne comprend rien à ton histoire de calfat, Pierre. Je t'ai charrié sur le terme parce que le calfat c'est l'ouvrier, mais pourquoi trouver du calfatage dans les fonds d'un bâtiment ? Le calfatage est dehors !

Il faudrait pour cela que les coutures béent suffisamment pour que l'étoupe ou le lusin aient été aspirés avant que n'apparaisse le calfatage? Ce bâtiment ne serait plus un navire, mais une baille en train de couler, et dans ce cas, crépines obstruées ou pas, ce n'est pas le relatif faible débit des pompes qui étalerait les entrées d'eau !

Pierre Blanc a écrit:Je ne tiens pas à contacter le virus de la fièvre acheteuse propagé par certains dans ce forum

Pour ceux qui étaient à Chateaulin cette année c'est foutu.

Pierre

Carrick a écrit:

Je ne comprend rien à ton histoire de calfat, Pierre. Je t'ai charrié sur le terme parce que le calfat c'est l'ouvrier, mais pourquoi trouver du calfatage dans les fonds d'un bâtiment ? Le calfatage est dehors !
Il faudrait pour cela que les coutures béent suffisamment pour que l'étoupe ou le lusin aient été aspirés avant que n'apparaisse le calfatage? Ce bâtiment ne serait plus un navire, mais une baille en train de couler, et dans ce cas, crépines obstruées ou pas, ce n'est pas le relatif faible débit des pompes qui étalerait les entrées d'eau !

C'est bien la raison donnée par Pierre B. qui est avancée dans les textes anciens. Il faut croire que la succion de ces pompes était suffisamment importante à l'extrémité des pompes pour que cela risque de perturber l'arrangement de l'étoupe.

Bonjour.

Alain Fosse a écrit:

Pierre Blanc a écrit:Je ne tiens pas à contacter le virus de la fièvre acheteuse propagé par certains dans ce forum

Je ne visais personne particulièrement.

Ps : Ue boulette, je voulais écrire contracter et non pas contacter.

C'est bien la raison donnée par Pierre B. qui est avancée dans les textes anciens. Il faut croire que la succion de ces pompes était suffisamment importante à l'extrémité des pompes pour que cela risque de perturber l'arrangement de l'étoupe.



Difficile d'avaler çà ! Arrivé à ce stade, il y a déjà longtemps qu'on a dû recouvrir les coutures de lattes de bois ou de bandes de plomb, comme sur "La Bretagne", par exemple. Jouer avec les coutures, çà va bien comme avec tous les canots en bois en rade, mais pas avec un gros cul en mer !

Dans les textes facilement accessibles :
- Blaise Ollivier page 272, article pompe.
- Encyclopédie Méthodique tome 3 page 160

Bien vu, merci

Bonjour.
J'ai mis en place les préceintes et les premières virures en ébène jusqu'à la flottaison. Pas facile de mettre en forme les virures avec ce bois, malgré les reprises qui s'imposaient il subsiste encore quelques baillements dans les virages j'espère les éliminer au ponçage.





PS: En relisant le texte de la mono j'ai découvert que la limite de la peinture noire ne correspondait pas exactement à la flottaison, et bien ce sera tant pis pour moi.

Bonsoir Pierre,

Si ce bois ne se laisse pas travailler facilement, il présente l'avantage d'afficher une couleur d'un noir profond magnifique que l'on peut voir sur ta première photo.
Tu vas bien réussir à masquer les imperfections (qui ne sont pas flagrantes d'ailleurs!)
Bon courage pour la suite

Pierre Blanc a écrit:Bonjour.


PS: En relisant le texte de la mono j'ai découvert que la limite de la peinture noire ne correspondait pas exactement à la flottaison, et bien ce sera tant pis pour moi.

dommage Pierre c'est bien parti.... aller un peu de courage pour refaire... à ce stade çà doit pas être insurmontable....sinon tu risques de le regretter plus tard

alain p

Bonjour.
Ben voyons... Il faudrait non seulement refaire le bordage mais aussi l'étrave et l'étambot.

Bonjour.
Un serrage musclé pour poser une virure.

Bonjour Pierre,

Tu débordes d'imagination, en même temps çà muscle les mains en tous cas très astucieux et bon courage pour la suite.

alain p

Ça c'est de la pince à linge de compét'