" An Eostig" (le rossignol) aujourd'hui arrivé à l'état d'épave.

Certes le bois n'est pas éternel, mais c'est toujours un peu navrant d'assister à la mort d'un élément du patrimoine, seulement âgé d'une  trentaine d'années.
Bien sûr le manque d'entretien en est la cause principale, mais aussi ce sont aussi les finances du port musée de Douarnenez qui n'a jamais pu vraiment sortir la tête de l'eau.
Collectionnant les épaves laissées en pâture aux sévices tu temps, le public a certainement  du mal à accrocher.
C'est pour moi également un crève-cœur de voir cela.