-- Discussion générale sur le Commerce de Marseille --
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Marine et Modélisme d'Arsenal :: MONOGRAPHIES :: MONOGRAPHIES :: Le Commerce de Marseille 1788 - Plans Gérard Delacroix
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Re: -- Discussion générale sur le Commerce de Marseille --
Merci Francis,
Pour avoir vu celui du "Juste " à Port Louis ,j'imagine que les mantelets faisaient un certain poids.Cela compense surement le "Battement".
Pour avoir vu celui du "Juste " à Port Louis ,j'imagine que les mantelets faisaient un certain poids.Cela compense surement le "Battement".
Michael Gloaguen- Messages : 382
Date d'inscription : 03/03/2014
Re: -- Discussion générale sur le Commerce de Marseille --
J'oubliais, la disposition indiquée par Gérard existe sur le modèle du 118 "l'Océan" du musée de Chaillot : une boucle au milieu, en bas du mantelet.
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Francis
Francis Jonet- Modérateur
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Localisation : Moulin-Neuf - Ariège
Re: -- Discussion générale sur le Commerce de Marseille --
Et sur d'autres, Le Sans-Pareil par exemple.
Re: -- Discussion générale sur le Commerce de Marseille --
Bonjour
Je me suis amusé à calculer le poids (environ) des mantelets sur le CM.
Pour les pièces de 36 : 85 kg
Pour les pièces de 24 : 45 kg
Pour les pièces de 12: 25kg
Et tout ça sans le poids des ferrures et des clous.
On comprend le pourquoi des palans.
Les mantelets de 36 ne devaient pas bouger beaucoup un fois ouverts.
Bernard
j'imagine que les mantelets faisaient un certain poids
Je me suis amusé à calculer le poids (environ) des mantelets sur le CM.
Pour les pièces de 36 : 85 kg
Pour les pièces de 24 : 45 kg
Pour les pièces de 12: 25kg
Et tout ça sans le poids des ferrures et des clous.
On comprend le pourquoi des palans.
Les mantelets de 36 ne devaient pas bouger beaucoup un fois ouverts.
Bernard
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Tout a une fin, sauf la banane qui en a deux.
Le Fleuron
La coque de Pic
Bernard HUC- Admin
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Date d'inscription : 25/05/2010
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Re: -- Discussion générale sur le Commerce de Marseille --
Les pièces de 36 se trouvaient sur le premier pont donc les plus près de l'eau, les sabords devaient être plutôt fermés et n'étaient ouverts que lorsque c'était nécessaire ou par mer d'huile.
Pierre
Pierre
Dernière édition par Pierre Rouanne le Jeu 23 Oct 2014 - 15:00, édité 1 fois
Re: -- Discussion générale sur le Commerce de Marseille --
Faux mantelets pour les pièces de 12 et en sapin (bois pris en compte dans le calcul ?)
Re: -- Discussion générale sur le Commerce de Marseille --
pièces de 12 et en sapin
On me dit rien à moi.
Allez on va dire 16 kg en sapin pour un mantelet d'une pièce de 12
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La coque de Pic
Bernard HUC- Admin
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Date d'inscription : 25/05/2010
Localisation : Cagnes sur mer près de Nice
Re: -- Discussion générale sur le Commerce de Marseille --
Comment sont arrimées les embarcations sur le troisième pont ? En cas de gros temps ça devait chahuter un peu beaucoup là haut.
Pour le 74, j'ai ajouté des boucles sur le pont. Dois-je faire à pareil ?
P.S. : ma question est quelque peu brutale, aussi je reformule : Messieurs, comment ....
Pour le 74, j'ai ajouté des boucles sur le pont. Dois-je faire à pareil ?
P.S. : ma question est quelque peu brutale, aussi je reformule : Messieurs, comment ....
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Francis
Francis Jonet- Modérateur
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Localisation : Moulin-Neuf - Ariège
Re: -- Discussion générale sur le Commerce de Marseille --
Il faut utiliser les boucles des palans de recul pour placer soit des risses croisées soit des tours de cordage entre les boucles babord/tribord qui sont ensuite bridés.
Dernière édition par G. Delacroix le Lun 29 Déc 2014 - 17:02, édité 1 fois
Re: -- Discussion générale sur le Commerce de Marseille --
J'ai pensé à cette solution mais elle me semble bizarre, ces boucles sont situées sous les mâts de hune de la drome, je vois mal comment passent les cordages.
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Francis
Francis Jonet- Modérateur
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Re: -- Discussion générale sur le Commerce de Marseille --
Je n'ai pas le plan sous les yeux mais dans ce cas il faudrait alors ajouter trois ou quatre paires de boucles dédiées aux embarcations comme tu l'as fait sur le 74 et judicieusement placées afin que les risses croisées ou les tours de cordages travaillent au mieux.
Dernière édition par G. Delacroix le Lun 29 Déc 2014 - 18:45, édité 1 fois (Raison : Ortho)
Re: -- Discussion générale sur le Commerce de Marseille --
Je fais comme ça;
Merci.
Merci.
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Francis
Francis Jonet- Modérateur
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Re: -- Discussion générale sur le Commerce de Marseille --
G. Delacroix a écrit:... il faudrait alors ajouter trois ou quatre paires de boucles dédiées aux embarcations comme tu l'as fait sur le 74 et judicieusement placées afin que les risses croisées ou les tours de cordages travaillent au mieux.
Gérard
Là, je suis un peu ennuyé : compte tenu de la tonture des canots, je ne sais pas trop où placer ces boucles. N'aurais-tu pas d'autres dessins pour ces canots ? Ou des images sur l'arrimage des embarcations (je n'en possède pas).
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Francis
Francis Jonet- Modérateur
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Re: -- Discussion générale sur le Commerce de Marseille --
Voilà la disposition des risses telle qu'elle est illustrée dans "L’installation des vaisseaux" de Missiessy. Rien trouvé d'autre.
Re: -- Discussion générale sur le Commerce de Marseille --
Merci Gérard, j'arriverai à me débrouiller à partir de ce document.
Ça ressemble à ce que j'ai fait sur le 74 – j'étais bien inspiré en ces folles années ! –, mais j'avais placé trois risses et un bout de bois pour protéger les carreaux du petit canot et en maintenir l'écartement. Je crois avoir lu ça chez J.B.
Ça ressemble à ce que j'ai fait sur le 74 – j'étais bien inspiré en ces folles années ! –, mais j'avais placé trois risses et un bout de bois pour protéger les carreaux du petit canot et en maintenir l'écartement. Je crois avoir lu ça chez J.B.
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Francis
Francis Jonet- Modérateur
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Date d'inscription : 24/05/2010
Localisation : Moulin-Neuf - Ariège
Re: -- Discussion générale sur le Commerce de Marseille --
Gérard,
J'ai repris mon dessin de l'échelle de hors le bord, le premier ne me plaisait pas beaucoup.
À cette occasion je me suis rendu compte que la distribution des sabords du modèle de l'Océan n'est pas la même que celle du Commerce Marseille.
Ils n'ont pas été construits dans le même arsenal, c'est sans doute l'explication de cette différence.
L'image du modèle du musée de Chaillot :
Est-ce que fais une grosse erreur en apportant ce genre de modification à mon tas de bois ?
N.B. : mon modèle n'étant pas un "arsenal".
J'ai repris mon dessin de l'échelle de hors le bord, le premier ne me plaisait pas beaucoup.
À cette occasion je me suis rendu compte que la distribution des sabords du modèle de l'Océan n'est pas la même que celle du Commerce Marseille.
Ils n'ont pas été construits dans le même arsenal, c'est sans doute l'explication de cette différence.
L'image du modèle du musée de Chaillot :
Est-ce que fais une grosse erreur en apportant ce genre de modification à mon tas de bois ?
N.B. : mon modèle n'étant pas un "arsenal".
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Francis
Francis Jonet- Modérateur
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Re: -- Discussion générale sur le Commerce de Marseille --
Ce que tu as dessiné semble correct, peut-être, éventuellement, la trajectoire pourrait être un peu plus tendue.
La position des sabords est immuable, c'est l'extrémité du rabattu qui n'est pas identique.
La position des sabords est immuable, c'est l'extrémité du rabattu qui n'est pas identique.
Re: -- Discussion générale sur le Commerce de Marseille --
Merci pour ta réponse;
Gérard, il y a quand même un truc. Regarde la position du sabord de la troisième batterie par rapport au grand porte-haubans qui, lui, est bien aligné avec le grand mât.
Pour moi, ce modèle ne respecte pas la vérité (Cf. ce que je pense du fer à cheval).
Gérard, il y a quand même un truc. Regarde la position du sabord de la troisième batterie par rapport au grand porte-haubans qui, lui, est bien aligné avec le grand mât.
Pour moi, ce modèle ne respecte pas la vérité (Cf. ce que je pense du fer à cheval).
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Francis
Francis Jonet- Modérateur
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Re: -- Discussion générale sur le Commerce de Marseille --
Si le canon de troisième batterie était aligné sur la première, l'ouverture de descente devrait se trouver ailleurs. Est-ce un arrangement ?
Michel Saunier (†)- Messages : 8200
Date d'inscription : 23/05/2010
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Re: -- Discussion générale sur le Commerce de Marseille --
Les sabords de troisième batterie sont parfaitement alignés sur ceux de la première. Je ne comprends pas très bien ta question ?
Le modèle de l'Océan que tu vois en photo est du début du XIXe, il représente ce vaisseau transformé en 120 bouches à feu.
Le modèle de l'Océan que tu vois en photo est du début du XIXe, il représente ce vaisseau transformé en 120 bouches à feu.
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Francis
Francis Jonet- Modérateur
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Re: -- Discussion générale sur le Commerce de Marseille --
Gérard,
En ce qui concerne les cloisons séparatives des zones de cuissons sous le gaillard d'avant, je pense les faire de hauteur sous barreaux. Est-ce acceptable ?
Je motive mon idée : elles sont démontables en cas de branle bas ; j'imagine que la rapidité du démontage prime sur l'occultation des zones ; de plus des passages sont inévitables sous la cuisine et le four à pâtisseries.
En ce qui concerne les cloisons séparatives des zones de cuissons sous le gaillard d'avant, je pense les faire de hauteur sous barreaux. Est-ce acceptable ?
Je motive mon idée : elles sont démontables en cas de branle bas ; j'imagine que la rapidité du démontage prime sur l'occultation des zones ; de plus des passages sont inévitables sous la cuisine et le four à pâtisseries.
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Francis Jonet- Modérateur
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Re: -- Discussion générale sur le Commerce de Marseille --
Pas sûr car quid de la fixation haute ? Il faut bien appuyer les panneaux sur quelque chose.
Re: -- Discussion générale sur le Commerce de Marseille --
Des loquets s'engageant sous les barrots ne suffiraient pas ?
Et quand il y a une verticale, comme le montant de coltis et le bitton de hunier, la cloison peut être fixée dessus. Non ?
Et quand il y a une verticale, comme le montant de coltis et le bitton de hunier, la cloison peut être fixée dessus. Non ?
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Francis
Francis Jonet- Modérateur
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Re: -- Discussion générale sur le Commerce de Marseille --
Gérard,
Je reviens avec mon leitmotive préféré, le fonctionnement des portes dans les grandes chambres (ne me dis pas que je suis plus têtu qu'un breton).
Actuellement je mets en place les barrotins du pont des gaillards, le dernier de ceux-ci, celui situé à la verticale des portes d'accès à la galerie du pont inférieur, heurte le haut des portes ; ceci peut être évité si ce barrotin est reculé vers l'avant dernier barrot, ou s'il est supprimé.
Malgré moi (si, si... ), je me dis qu'il y a quelque chose qui ne colle pas.
D'une part, ces portes devaient être plus solides que celles mises en œuvre sur terre, sauf sans aucun doute celles des châteaux, donc bien plus lourdes à manœuvrer, et avec leur pente ce ne devait pas être du gâteau de les ouvrir - d'accord les marins sont des costauds, mais quand même !
D'autre part nous avons déjà vu qu'il fallait entamer le dernier barrot pour pouvoir les ouvrir si elles sont d'une seule pièce (ce que j'ai fait sur mon 118), quitte à l'affaiblir.
Je reste persuadé que ces portes devaient être construites en deux parties comme les portes fermières, que ce que nous voyons sur les différents modèles d'époque n'est pas réaliste, que c'est simplement pour faire beau.
J'avance des choses sans preuve, c'est vrai. Mais il semble qu'aucun document n'existe précisant le fonctionnement de ces portes ?
Bon, on m'appelle pour déjeuner !
Je reviens avec mon leitmotive préféré, le fonctionnement des portes dans les grandes chambres (ne me dis pas que je suis plus têtu qu'un breton).
Actuellement je mets en place les barrotins du pont des gaillards, le dernier de ceux-ci, celui situé à la verticale des portes d'accès à la galerie du pont inférieur, heurte le haut des portes ; ceci peut être évité si ce barrotin est reculé vers l'avant dernier barrot, ou s'il est supprimé.
Malgré moi (si, si... ), je me dis qu'il y a quelque chose qui ne colle pas.
D'une part, ces portes devaient être plus solides que celles mises en œuvre sur terre, sauf sans aucun doute celles des châteaux, donc bien plus lourdes à manœuvrer, et avec leur pente ce ne devait pas être du gâteau de les ouvrir - d'accord les marins sont des costauds, mais quand même !
D'autre part nous avons déjà vu qu'il fallait entamer le dernier barrot pour pouvoir les ouvrir si elles sont d'une seule pièce (ce que j'ai fait sur mon 118), quitte à l'affaiblir.
Je reste persuadé que ces portes devaient être construites en deux parties comme les portes fermières, que ce que nous voyons sur les différents modèles d'époque n'est pas réaliste, que c'est simplement pour faire beau.
J'avance des choses sans preuve, c'est vrai. Mais il semble qu'aucun document n'existe précisant le fonctionnement de ces portes ?
Bon, on m'appelle pour déjeuner !
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Francis
Francis Jonet- Modérateur
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Re: -- Discussion générale sur le Commerce de Marseille --
Le fait que tu réalises ta porte en une ou deux pièces ne change en rien à son débattement , la partie haute demandera toujours de modifier le barrot qui gène; pour qui est du poids de la porte si elle est bien montée sur ses gonds, elle doit s'ouvrir sans difficulté, pour un exemple que tu connais : la porte de la citadelle de Port-Louis, je l'ouvre ou la ferme sans effort malgré mon âge avancé, elle pèse certainement plus de cent kilos.
Pierre
Pierre
Re: -- Discussion générale sur le Commerce de Marseille --
Bonjour Pierre,
1) je ne connais pas la porte de la citadelle de Port Louis. Je suppose qu'elle est placée verticalement sur ces gonds - ce qui me semble normal - et qu'elle s'ouvre tout naturellement ;
2) les portes dont je parle, d'accès à la galerie du deuxième pont ne sont pas verticales, elles chutent en partie haute vers l'arrière par rapport à leur sens d'ouverture : elles ont donc besoin, pour être ouvertes, d'une résultante de poussée verticale ;
3) pour ce genre d'ouverture il est indispensable de rogner le barrot de pont, d'où sont affaiblissement ; et que de façon tout aussi indispensable elles heurtent le plafond ;
4) je ne suggère qu'une porte de type "fermière", c'est-à-dire avec une partie basse s'ouvrant normalement sur des paumelles placées sur le montant, la partie haute s'articulant à l'aide de paumelles placées sur la traverse haute, se relevant comme on le connait pour moult modèles.
Mais je ne fait qu'avoir envie de "disputer" la chose.
N.B. : je reste persuadé que les solutions techniques adoptées à l'époque n'étaient pas du genre à "compliquer les choses pour faire bien", alors que des techniques simples existaient.
1) je ne connais pas la porte de la citadelle de Port Louis. Je suppose qu'elle est placée verticalement sur ces gonds - ce qui me semble normal - et qu'elle s'ouvre tout naturellement ;
2) les portes dont je parle, d'accès à la galerie du deuxième pont ne sont pas verticales, elles chutent en partie haute vers l'arrière par rapport à leur sens d'ouverture : elles ont donc besoin, pour être ouvertes, d'une résultante de poussée verticale ;
3) pour ce genre d'ouverture il est indispensable de rogner le barrot de pont, d'où sont affaiblissement ; et que de façon tout aussi indispensable elles heurtent le plafond ;
4) je ne suggère qu'une porte de type "fermière", c'est-à-dire avec une partie basse s'ouvrant normalement sur des paumelles placées sur le montant, la partie haute s'articulant à l'aide de paumelles placées sur la traverse haute, se relevant comme on le connait pour moult modèles.
Mais je ne fait qu'avoir envie de "disputer" la chose.
N.B. : je reste persuadé que les solutions techniques adoptées à l'époque n'étaient pas du genre à "compliquer les choses pour faire bien", alors que des techniques simples existaient.
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Francis
Francis Jonet- Modérateur
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