Comment se fixe la cosse sur le ton du mât
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Marine et Modélisme d'Arsenal :: L'ARSENAL, Architecture Navale traditionnelle :: Mâture, gréement et voilure
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Comment se fixe la cosse sur le ton du mât
Bonjours,
Toujours sur le Cygne, j'en suis au gréement dormant, il est écrit pour l'étai de grand perroquet (nomenclature n° 285 pour ceux qui ont la mono, page 85) :
......se ride par cosse au ton du mât de hune sur une cosse......
Comment se fixe la cosse sur le ton du mât ..... et après.
J'avoue que je ne saisis pas.
J'ai regardé le tome 3 du V74, mais n'ai rien trouvé.
Merci
Jean-Jacques
Toujours sur le Cygne, j'en suis au gréement dormant, il est écrit pour l'étai de grand perroquet (nomenclature n° 285 pour ceux qui ont la mono, page 85) :
......se ride par cosse au ton du mât de hune sur une cosse......
Comment se fixe la cosse sur le ton du mât ..... et après.
J'avoue que je ne saisis pas.
J'ai regardé le tome 3 du V74, mais n'ai rien trouvé.
Merci
Jean-Jacques
Re: Comment se fixe la cosse sur le ton du mât
Bonsoir Jean-Jacques,
Voir page 3 "discutions générales sur le Cygne", Gérard avait répondu à différentes questions sur les étais et notamment indiqué avec un plan modifié à l'appui, que la poulie n°251, utilisée pour l'étai 285, était mal positionnée.
Bon courage pour la suite, Jacques
Voir page 3 "discutions générales sur le Cygne", Gérard avait répondu à différentes questions sur les étais et notamment indiqué avec un plan modifié à l'appui, que la poulie n°251, utilisée pour l'étai 285, était mal positionnée.
Bon courage pour la suite, Jacques
j.rob- Messages : 159
Date d'inscription : 02/10/2014
Localisation : Honfleur 14600
Re: Comment se fixe la cosse sur le ton du mât
Merci beaucoup,
Je vais essayer de comprendre avec tout cela. J'avaius essayé cosse dans les recherches et n'avais pas eu cette réponse.
Jean-Jacques
Je vais essayer de comprendre avec tout cela. J'avaius essayé cosse dans les recherches et n'avais pas eu cette réponse.
Jean-Jacques
Re: Comment se fixe la cosse sur le ton du mât
Bonjour,
En effet le dessin de Gérard est très explicite pour le cheminement, mais pour moi, la difficulté est dans le ridage de la cosse 253.
Je vois qu'il y 2 étais qui arrivent sur cette cosse.
Ce que je ne comprends pas c'est :
- Bouriot fixe les 2 étais sur cette cosse 253 Je vois que Gérard met 2 cosses, c'est plus logique et plus simple.
- et surtout --> comment ces cosses peuvent être fixées au ton du mât. Pour moi une cosse sert à repartir sur un autre cordage qui sera ridé avec une poulie ????
Jean-Jacques
En effet le dessin de Gérard est très explicite pour le cheminement, mais pour moi, la difficulté est dans le ridage de la cosse 253.
Je vois qu'il y 2 étais qui arrivent sur cette cosse.
Ce que je ne comprends pas c'est :
- Bouriot fixe les 2 étais sur cette cosse 253 Je vois que Gérard met 2 cosses, c'est plus logique et plus simple.
- et surtout --> comment ces cosses peuvent être fixées au ton du mât. Pour moi une cosse sert à repartir sur un autre cordage qui sera ridé avec une poulie ????
Jean-Jacques
Re: Comment se fixe la cosse sur le ton du mât
Bonjour,
Je pense qu'il existe deux cosses 253, une à tribord et l'autre à bâbord comme indiqué sur le dessin, elles sont aiguilletées aux barres.
Les étais passent chacun dans une cosse puis font retour et s'amarrent sur eux-mêmes.
Je pense qu'il existe deux cosses 253, une à tribord et l'autre à bâbord comme indiqué sur le dessin, elles sont aiguilletées aux barres.
Les étais passent chacun dans une cosse puis font retour et s'amarrent sur eux-mêmes.
Re: Comment se fixe la cosse sur le ton du mât
Merci beaucoup. Là c'est très clair.
Le gréement n'est pas très aisé pour un débutant comme moi.
Outre le fait qu'il est parfois compliqué, parfois difficile d'accès, d'où souvent la nécessité de privilégier une certaine chronologie, il y a ce que j'appelle les phénomènes collatéraux.
En effet, il est ennuyeux de constater que pour tendre un cordage, on en détend un autre, que l'on doit retendre, mais qui à ce moment-là n'est que très difficilement accessible.
C'est la grosse différence avec la coque ou l'accastillage, on loupe ---> on refait, pas de problème.
Dans le gréement tout se tient et la tension d'un câble influe sur tout le reste.
Avec l'arrivée de l'hiver la fraîcheur arrive dans ma cave, et il vaut mieux rester bras nu et sans montre. J'ai accroché une vergue qui s'était glissée dans ma manche. Depuis je remonte mes manches.
Bon voilà, c'est des problèmes de débutant. Ma mère ne m'a pas appris le tricot.
Bonne journée à tous et encore merci pour ce forum où je suis plus souvent quémandeur que conseilleur.
Jean-Jacques
Le gréement n'est pas très aisé pour un débutant comme moi.
Outre le fait qu'il est parfois compliqué, parfois difficile d'accès, d'où souvent la nécessité de privilégier une certaine chronologie, il y a ce que j'appelle les phénomènes collatéraux.
En effet, il est ennuyeux de constater que pour tendre un cordage, on en détend un autre, que l'on doit retendre, mais qui à ce moment-là n'est que très difficilement accessible.
C'est la grosse différence avec la coque ou l'accastillage, on loupe ---> on refait, pas de problème.
Dans le gréement tout se tient et la tension d'un câble influe sur tout le reste.
Avec l'arrivée de l'hiver la fraîcheur arrive dans ma cave, et il vaut mieux rester bras nu et sans montre. J'ai accroché une vergue qui s'était glissée dans ma manche. Depuis je remonte mes manches.
Bon voilà, c'est des problèmes de débutant. Ma mère ne m'a pas appris le tricot.
Bonne journée à tous et encore merci pour ce forum où je suis plus souvent quémandeur que conseilleur.
Jean-Jacques
G. Delacroix aime ce message
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