Nouvelles

Bonjour,

Il me prend régulièrement d'écrire des petites nouvelles, j'en ai commencé une récemment sur le thème de la marine de la Révolution.

Vous pouvez la consulter là:

http://mer.pluce.net

N'hésitez pas à critiquer (de façon constructive il va de soi) le fond comme la forme !

Ben, déjà là, Pierre. De, pas des, devant un adjectif. :x

Bonsoir,

Je trouve cela excellent, ça me rappelle un peu Forester et son fameux Hornblower.

Je vais le prendre avec humour, même si j'aurais apprécier que cette petite pique (fort à propos) soit accompagnée d'un avis sur ce que je présente.

J'en profite pour signaler que oui il y a probablement un certain nombre de fautes d'orthographe. Je publie au fur et à mesure que j'écris sans forcément prendre le temps de relire en profondeur.

Ma réponse était évidement destinée à carrick.

Qui l'avait bien prise pour lui, et répondait à la forme, mais pas une pique.

Je n'avais pas eu le temps de lire, je me permettrai de te dire demain. En tout cas c'est une bonne idée de l'avoir mis sur le forum. Bonne soirée.

bonsoir,

Je m'inscrit déjà comme lecteur.

La première phrase m'a rappelé des propos dans le film "il était une fois dans l'ouest".

mais je suis preneur pour ..................la suite !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Jean-Jacques

Pris par la lecture comme Jean-Jacques... je n'ai remarqué aucune erreur de frappe.

Francis.

J'ai trouvé ce texte plus que sympa, Pierre.
Peut-être raconte-t'il trop rapidement l'histoire, ne s'attarde-t'il pas assez sur la vie à bord, sur l'état de la mer, sur la réflexion des personnages, mais bon, çà peut se revoir et s'étoffer par la suite, car tu nous ponds une suite, bien sûr.
Il a en effet, trois fois hélas, l'énorme défaut de nous laisser sur notre faim, parce que trop court, et aussi juste au moment où on pouvait espérer que çà aller barder, tu nous dégonfle la baudruche. Ça ne se fait pas, çà !

Quelques anomalies de vie à bord, surtout sur la "Spartiate", autour du capitaine cdt.
Le sifflet des maîtres ne crisse pas,
Et quand le vent force, le gréement ne grince plus, il est "à bloc".

En tout cas, moi j'en redemande. Il te faudrait juste trouver un conseiller de mer.

C'est exactement pour ça que je vous soumet ces textes, c'est pour tout ce qui est "vie à bord", que je ne connais malheureusement pas assez.

Et oui il y aura une suite, évidemment

Merci pour vos commentaires !

Très sympa à lire, et assez prenant! J'adhère moi aussi.

Je viens de mettre en ligne le second chapitre, j'attends vos commentaires

PS: Je n'ai pas retouché à la partie précédente, inutile d'y chercher du changement !

Une "déconstruction" au XVIIIeme siècle ? Une démolition sans doute.

Ah ? J'étais persuadé que l'on "déconstruisait" bien un navire une fois sa carrière terminée. N'y avait-il rien à récupérer ?

Si, bien sûr, on récupérait mais le mot "déconstruire", qu'on emploie à toutes les sauces aujourd'hui, n'existait pas. On disait simplement démolir.

Ben, çà me plaît toujours autant ! Bravo, Pierre.

Quelques invraisemblances:

- Un bâtiment qui se présenterait petite brise du cul devant le Goulet, et qui n'en profiterait pas pour entrer en Rade, aurait intérêt à numéroter son matricule, le lendemain.

- On n'entre pas en Rade comme on va au déduit !
Un navire arrivant de mer est d'abord interpelé par le garde de Rade qui se promène aux environs de la Pointe des Espagnols et de la Cormorandière, et, suivant les assurances qui lui sont fournies au porte-voix, conduit aux îles de quarantaine, ou quelques jours plus tard, s'il n'y avait pas d'évolution du nombre des malades, autorisé à gagner le mouillage de Grande Rade, où un lamaneur lui affecte un corps-mort. Alors seulement le Capitaine Cdt peut héler un canot du Service de Rade qui le conduira à l'Intendance.

Un navire n'entre pas non plus sous voile en Penfell, d'habitude. Pour un cotre, comme pour une goélette, çà peut arriver de sortir, mais ce n'est pas dans les habitudes, et il faut être sûr de son équipage et de ses capacités de manoeuvrier ! Quand il est en Penfell, il ne va pas à quai, mais mouille dans le lit de la rivière.

- VA Porcet/oeil porcin, c'est pas un peu beaucoup pour le même homme ?

André .. honnêtement j'ai pas tout compris ( mais c'est tout à fait normal ! ) Si tu as une petite place pour moi 1 de ces 4 pour faire un ch'tit tour en bateau je te suivrai les yeux fermés !! ( inutile en revanche de prévoir d'appât ou du vif .. no comments )

Merci de vos remarques. Je suis touché par vos commentaires Carrick, venant d'un homme qui semble bien connaître la chose

Concernant ce pauvre VA, c'est bien fait pour lui.

Pour être resté en panne le soir malgré la brise, et bien il paiera une tournée à son bosco, si j'ai bien compris le sens de votre remarque.

Concernant la quarantaine et tout le bazar, j'ai peur que ça casse un peu le rythme du roman de rester une semaine sur une ile Néanmoins je remanierais le passage pour faire intervenir le garde et tout le reste après (une fois que j'aurais fait des recherche sur ce qu'est un lamaneur et un corps-mort !)

Bonjour,

Merci Pierre L., ça se lit bien, même par rapport à du Hornblower / Jack Aubrey / Bolitho ! Ça va finir en roman plus qu'en nouvelle ?

Côté technique, je ne pense pas qu'on "appareille" quand on sort de la panne. On remet en route ?
Pas eu trop le temps de vérifier certains points dans ma doc. Par exemple, la panne en question ressemble plutôt à une prise de cape ? Je me demande si on peut équilibrer un cotre dans le lit du vent sous hunier seul ? (ou hunier et trinquette. Trop de toile à l'avant dans les deux cas ?) Quant à éviter de dériver, c'est sans espoir.

L'orthographe est perfectible. Si intérêt, je pourrais envoyer ce que j'ai vu en MP.

Bon courage pour la suite !

Etant en panne lorsqu'on veut reprendre route ,on fait servir .

Pierre

Bonjour,

Effectivement, beau commandement très Grand Siècle : "Faites servir"

Nouveau chapitre mis en ligne, toujours à la même adresse:

http://mer.pluce.net

ça commence à la page 20.

J'en profite pour vous demander ce que vous pensez de la présentation. J'utilise les services du site issuu.com, parce que je n'ai pas trouvé mieux, mais si vous avez des commentaires à faire sur la forme n'hésitez pas, je pourrais peut être trouver (ou bricoler) autre chose.

C'est quoi cette coque de trapanelle que tu as trouvé pour ta première de couverture, Pierre ?

Si j'en crois le nom de l'image trouvée sur Google, c'est le Rattlesnake, petite frégate de 20 canons, corsaire américain pendant la guerre d'indépendance.

Je trouvais jolies les couleurs. Mais si vous avez une meilleure image à proposer n'hésitez pas

Je me disais bien que çà ne ressemblait pas à une coque de chez nous.
Mais la voilure est belle.
Si tu aimes, il faut garder.