Coupe d'un 120 canons britannique circa 1750

Bonjour à tous,

Au cours de ma visite hier au Navy Museum de Washington, j'ai pris quelques clichés de la coupe d'un 120 canons britannique. J'ai fait ce que j'ai pu avec cet objet sous vitrine et les reflets multiples de l'éclairage artificiel… Pour les amateurs, je tiens à leur disposition ces mêmes clichés en 300 dpi A4 (ou avoisinant ce format).

Amicalement,

Thierry

Bonjour,
ça me rappelle l'école navale de Brest qui m'avait demandé de leur faire un 118 transformé en ponton-école, en coupe, avec les amphis et tout. On me remboursait juste le prix des matériaux A l'époque, ça m'aurait coûté 2 ans de charges sociales et aucun revenu. Et bizarrement, j'ai dit NON
Gérard

Bonjour Gérard,

En matière de "bénévolat", ils sont nombreux les "clients" qui ne doutent de rien !

Du côté de Washington, j'ai bien fait d'aller au Navy Yard hier car ce matin, grosse surprise neigeuse !

On espère atteindre l'aéroport tout à l'heure pour le retour vers la France…

Thierry

gérard 2 a écrit:Bonjour,
ça me rappelle l'école navale de Brest qui m'avait demandé de leur faire un 118 transformé en ponton-école, en coupe, avec les amphis et tout. On me remboursait juste le prix des matériaux A l'époque, ça m'aurait coûté 2 ans de charges sociales et aucun revenu. Et bizarrement, j'ai dit NON
Gérard

Bonjour Gérard,

Je viens de terminer la lecture d'un grand classique : "Croquis Maritimes" de Sahib (Louis Ernest Lesage 1847-1919), 1880. Et je comprends mieux la demande de l'Ecole navale de Brest en examinant les croquis réalisés à bord du Borda en rade de Brest…

Page 9 : "La vérité est que l'amiral se sème et germe à l'Ecole navale ; cette Ecole roule et tangue en rade de Brest. Elle est installée à bord d'un vaisseau - le Borda, - du nom d'un savant et fameux navigateur, d'où l'on a tiré Bordachien pour désigner les élèves absolument d'après les mêmes procédés que pour Saint-Cyrien, Polytechnicien, etc. Le navire a pu changer, mais le nom est resté depuis les temps antiques où il se nommait l'Orion et n'était qu'une succursale de l'Ecole navale établie à Angoulême ; d'après cette triomphante idée que le meilleur moyen de posséder de bons marins, habitués à la mer, c'est de les élever en pleine terre. - Probablement pour leur conserver plus longtemps leurs illusions…"

Thierry