A 86 m (flèche de ND)

La flêche de Notre Dame a été posée

Bonjour,
super, mes playmobils !
Gérard

Oui, Patrick !
Mais il ne faudrait pas se réjouir trop tôt : on nous promet, par exemple, des vitraux « contemporains », . . . Aïe aïe aïe !
Et puis, s’interroger sur le choix d’une flèche « à l’identique », . . . de la précédente, démesurée et datant seulement de 1859 – éxubérante, comme la plupart des restaurations confiées à Viollet le Duc - préférée à l’ornement d’origine ( XIIIe siècle) bien plus modeste et mieux proportionné.
Cette fois encore, c’est une « démonstration » prométhéenne, qui aura consisté à percher sur le toit
quelque chose comme la charpente de la frégate « Duc de Duras » !

"Il est impensable de mettre six énormes vitraux, qui n'ont pas d’intérêt en dehors de la cathédrale, dans un musée au détriment des œuvres qu’on pourrait y présenter", ajoute le journaliste Didier Rykner.
D'autant plus que ces vitraux n'ont pas été abimés lors de l'incendie

Didier Rykner propose d’ailleurs une alternative.
"Dans la tour nord, il y a des baies - des fenêtres - sans vitraux, avec juste du verre blanc.
On pourrait très bien créer quelques vitraux contemporains en hommage aux pompiers, au sauvetage de la cathédrale, et sans abîmer l'œuvre de Viollet-le-Duc. C’est une solution de bon sens".
Et de saluer sur ces vitraux toutes les professions et personnalités qui se sont associés à la reconstruction.