Fregata Grossa Veneziana 1780

Vous avez raison, c'est d'ailleurs ainsi que les canons tirent les poissons ! Je devrais pouvoir le corriger, merci !

G. Delacroix a écrit:Bonjour,

Le travail est "relativement" correct pour un débutant et apparemment, vos machines suffisent vu le résultat.

J'aurai juste un commentaire, les seuillets et sommiers des sabords devraient être horizontaux sinon il serait compliqué d'y placer les canons.

G. Delacroix a écrit:Bonjour,

Le travail est "relativement" correct pour un débutant et apparemment, vos machines suffisent vu le résultat.

J'aurai juste un commentaire, les seuillets et sommiers des sabords devraient être horizontaux sinon il serait compliqué d'y placer les canons.

J'ai fait des recherches sur la géométrie de ces trappes. En fait, sur le modèle original qui se trouve au musée de Vienne, qui est celui que je reproduis, elles sont faites comme les miennes.






De plus, j'ai parcouru tous mes livres sur les modèles d'arsenal, et j'en ai vraiment beaucoup, et dans aucun modèle tu ne vois de canons sortir de ces trappes.
Même dans les tableaux recensant les canons, aucun canon de poupe n'est jamais mentionné. Il est vrai qu'ils pouvaient être déplacés des bords, cependant.... À quoi servaient alors ces trappes ? Peut-être à vérifier le gouvernail ?

Bonjour,

Et bien la marine vénitienne a des particularités surprenantes.

Les sabords de l'arrière servent au tir "en retraite", ils sont armés par les derniers canons de chaque bord et de chaque batterie. C'est pour cette raison qu'on les nomme "sabords de retraite".

Ceux de la première batterie, dont il est question ici, portent spécifiquement le nom de "sabords de la sainte barbe" puisqu'ils sont placés dans la sainte barbe (sans majuscule).