La Renommée de Péji au 1/48

Merci les gars, mais pour les photos, je me contente pour le moment de montrer les évolutions et j'avoue que je fais les prises de vues un peu à l'arrache ... Mais bon, je vais essayer de faire un effort !

Cordialement.


Patrick

Francis Jonet a écrit:Patrick,
Je ne sais pas quel appareil photo tu possèdes, mais ça fait un bout de temps que je penses que tu devrais prendre tes photographies à faible vitesse d'obturation, en augmentant l' ouverture du diaphragme, cela donnera de la profondeur de champ à tes images.

Bonsoir,
Pour une meilleure profondeur de champ il faut effectivement baisser la vitesse d'obturation en revanche il faut diminuer l’ouverture du diaphragme.
Jacques

j.mail. a écrit:

Francis Jonet a écrit:Patrick,
Je ne sais pas quel appareil photo tu possèdes, mais ça fait un bout de temps que je penses que tu devrais prendre tes photographies à faible vitesse d'obturation, en augmentant l' ouverture du diaphragme, cela donnera de la profondeur de champ à tes images.

Bonsoir,
Pour une meilleure profondeur de champ il faut effectivement baisser la vitesse d'obturation en revanche il faut diminuer l’ouverture du diaphragme.
Jacques

Les objectifs grand angle, comme ceux des smartphones ont une meilleure capacité en profondeur de champ que les zooms ou pire encore, les télé-objectifs, qui n'en ont presque pas

Les objectifs macro, c'est carrément l'enfer de ce côté là !

Pour un appareil qui permet de donner une priorité à l'ouverture, assigner effectivement la plus petite possible, puis laisser le bidule calculer le temps de pause, mais il est probable que sauf à utiliser un flash, l'allongement de ce temps sera tel qu'il imposera de placer le boitier sur pied, peut-être même d'utiliser le retardateur pour ne pas bouger pendant l'acquisition de l'image

Pour mes photos de modèles réduits, l'appareil est constamment sur pied, et jamais avec le flash activé !

je n'ai rien contre les discussions techniques, mais regardez simplement le fond, la moitié de l'image est composée par la lumière de la fenêtre...

EricLem a écrit:je n'ai rien contre les discussions techniques, mais regardez simplement le fond, la moitié de l'image est composée par la lumière de la fenêtre...

C'est sûr que le contre-jour complique inutilement : conseil de base, sortir avec le bébé, et capter son sourire avec un chaud soleil dans le dos, si c'est faisable, sinon, à défaut, activer le flash pour fermer un peu plus le diaphragme qui est complètement ébloui par la fenêtre

Un nouvel essai de prise de vue, plus soigné ... pas évident de trouver un fond 'neutre' chez moi.



Cordialement.

Patrick

Je suis d'accord avec Eric !

et voila le résultat ! le modèle est bien mieux mis en valeur.

Bonjour, Francis a dit : "tu devrais prendre tes photographies à faible vitesse d'obturation, en augmentant l' ouverture du diaphragme, cela donnera de la profondeur de champ à tes images."
Rien à voir avec le modèle de PJ, mais si tu fais ce que dit Francis, tu sera sûr comme ça d'avoir une image bien surex, avec une faible profondeur de champ.
Faire une mesure du couple "vitesse-ouverture" en mesure pondérée centrale sur le modèle, travailler sur pied et en gardant le couple mesuré, descendre la vitesse pour diminuer l'ouverture du diaphragme (monter dans les f...)
Excusez-moi, ça m'est sorti du sujet
Gérard

j.mail. a écrit:
Bonsoir,
Pour une meilleure profondeur de champ il faut effectivement baisser la vitesse d'obturation en revanche il faut diminuer l’ouverture du diaphragme.
Jacques

Bon ! J'm'suis gouré.

Olivier Gatine qui à St Malo ou Vazerac a mainte fois mis en valeur nos modèles, l'a toujours fait devant un fond noir (voir mon avatar qui est son oeuvre).

Pierre

Bonjour,

Le cloutage de la muraille et des préceintes est achevé ... Je l'ai voulu discret. Diamètres utilisés : 0,4 et 0,8 mm.





Prochaine étape, la fabrication et la pose des lisses décoratives ainsi que du bordage jusqu'au haut de la muraille.

Cordialement.

Patrick

Bonjour.
Il est fait comment ce cloutage?

Bonjour Pierre,

Deux possibilités 'classiques' s'offraient à moi :

1)- Le laiton d'abord. J'en ai mis dans le fond de cale, mais après au moins un an, il est toujours aussi "doré", trop clinquant à mon gout.
2)- Les chevilles de bois en ébène (pas d'autres essences à disposition à part le poirier et le buis). J'ai fait des essais mais c'était trop foncé : je voulais quelque chose de relativement discret ...
Au final j'ai donc opté pour la pâte à bois couleur "wengé" qui correspond à ce que je recherche : quelque chose qui est là, mais qui demande à être relativement proche pour le voir ...

Le résultat me plait.

Pour les lisses moulurées à venir, je vais certainement utiliser des chevilles en poirier : sur du buis ça devrait fonctionner ... Je testerai.

Patrick

Bonjour,
le noyer est très bien pour les chevilles : un peu plus foncé que le poirier. Il se laisse débiter en fines baguettes sans problème.
Mais comme tous les bois, ça dépend où on le prend.
Gérard

Bonjour,

Je m'attaque maintenant aux lisses moulurées du haut de la muraille (réalisées en buis).

Pour ce faire, je me suis fabriqué un "outil" à l'aide de deux chutes de cornières alu d'une cinquantaine de centimètres dont la plus petite (1 cm x 1 cm) pressera la lisse à traiter contre la plus
grande (1 cm x 2,5 cm) à l'aide de 5 vis + écrous placés tous les 10 cm. La largeur étant réglable, cet outil me servira pour la confections des autres lisses.

La lisse ainsi maintenue entre les deux cornières peut alors être moulurée à l'aide d'un outil réalisé dans une lame de scie usagée et profilé suivant la moulure souhaitée. Cet outil, un par type de moulure,
est également conçu avec un décroché, calculé de façon à ne pas aller au delà de l'épaisseur souhaitée car venant en butée sur la cornière.

Les photos parlent d'elles-mêmes :




















A suivre avec la pose et le cloutage de ces premières lisses ...

Patrick

Très bien, bon système

Ce que c'est beau le copeau de buis, dommage que l'odeur ne passe pas par internet.

Pierre

tu as raison, c'est une des fragrances que je préfère, avec l'odeur de la forêt. les "nez" devraient s'y intéresser, ce serait drôle dans nos expos, non ?

Bonjour Messieurs !


Avec le temps pas très sympa de ces jours-ci - du moins en région parisienne - le travail du bois apporte quelque réconfort ...

La Renommée a son armure entièrement bordée :







Je débute les plats-bord, en commençant par la proue :









Voilà pour aujourd'hui ... La suite dans quelques jours.

Patrick

Bonjour,
tu es peut-être un peu osé d'avancer comme ça sans avoir bloqué la coque au niveau de ses écartements. Quelques entretoises provisoires éviteraient d'avoir à forcer lorsque les plats bords (qui rigidifient dans le sens longitudinal) auront été posés.
Gérard

Bonjour Gérard,

Ma coque semble pourtant bien rigide à ce stade, mais comme il vaut mieux prévenir que guérir, et puis ne maitrisant pas tout, loin s'en faut, je préfère suivre ton conseil :







Merci et à plus !

Patrick

Une coque bien rigide ....
Ne crois pas ça. Le bois travaille (et plus que 35h par semaine), la colle tire, et tout ça fait qu'au bout tu ne comprends pas les écarts que tu peux avoir.
Mais comme tu dis, mieux vaut mieux prévenir qu'essayer de guérir
Gérard

et tu as des risques supplémentaires de déformation, car tu ne vaigres que d'un côté, la résistance n'est pas la même.

Poursuite du travail sur les plats-bord :




















A suivre ...

Cordialement.

Patrick

Bel lavoro bravo.
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Beau travail.