-- Discussion générale --

Je tente de poster l'état d'avancement de mon coureur.
Il me semble que j'y arrive.Je dois être meilleur en posts qu'en modélisme !

Brut de décoffrage

J'ai une question, peut être oiseuse, qui n'a rien à voir avec la réalisation de ce Chef d'Oeuvre de Mr Chataignier : pourquoi y a t il des ancres ("de rechange ?") sous la barque, alors qu'il y en a déjà 2 à leur place ? ( Je vous rappelle que je suis alsacien et que je n'ai jamais mis les pieds sur un bateau autrement qu'en rivière ...)

Sur le plan de Mr BOUDRIOT (vue supérieure du pont), il n'y a qu'un seul "système à cliquet" (excusez mon manque de vocabulaire technique) pour retenir le guindeau, mais il y en a 2 sur le modèle de Mr Chataignier et celui de Gio (ce qui parait logique). Est ce que j'ai manqué une explication ?

Eric, en fait il ya deux systèmes de verrouillage, le coté port, est juste en dessous des baupres dans le dessin.
J'espère que l'image sera claire mon explication. Toutefois, sous la planche d'accastileges, Planche V, Boudriot nous a donné une vue plus détaillée de tous les accastillages, y compris le guindeau, H. Aussi dans le texte du mono, vous avez la description de ce que vous avez besoin.
Si vous avez besoin de plus d'aide, demandez nous, rappelez-vous que le guindeau n'est pas rond, si section octogonale.

Salutations.

Giorgio.

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Bac + 8, quand même !

Oui, mais à que faire ?

Traduction s'il vous plaît!!
Je ne comprends pas votres réactions. J'espère que je me suis bien exprimé, parfois je crains dire la mauvaise chose.

Salutation.

Giorgio.

Votre réponse était exacte et Eric précise que, malgré un diplôme supérieur et 8 années d'études au delà, il n'avait pas bien compris le plan.
Carrick lui demande ce qu'il a étudié pendant ces 8 années, il n'a peut-être pas fait des études techniques.

Très gentil sa traduction, M. Delacroix, je vous remercie beaucoup.
Maintenant, je comprends!

Mais cela arrive toujours, je suis un ingénieur, et dans cette profession qui se passe tous les jours. Est normal. . . mais ne devrait pas!

Merci beaucoup. Très gentiles.

Salutations.

Giorgio.

Merci Gio
En tant que médecin, j'ai peu l'occasion de travailler le bois.
Voilà où en est mon travail :

Je rame pour envoyer quelques images avant gréement

Je me permets de coller une image de mon coureur fini (sans voiles, car je ne sais pas coudre), pour ceux qui hésitent à le faire

Il est très sympa.
Et maintenant ?

Pierre

J'ai une commande d'un kit de Drakkar pour faire plaisir à un beau frère amateur de vikinguerie, puis certainement une autre monographie pas trop compliquée ( J'ai mon job de médecin qui est quand même très chronophage !)
C'est vrai que les kits deviennent moins intéressant une fois qu'on a goûté à autre chose. Mais comme je l'ai déjà écrit ailleurs, je ne serai jamais assez bon pour exposer, mais du moment que j'aime bien faire ça :au moins, pendant ce temps, je ne suis pas au bistrot !

Eric, vous avez fait un excellent travail, Le Coureur, est un modèle très agréable, surtout pour les débutants dans le modelisme d'arsenal.

Dommage que vous n'avez pas mis les voiles, ils donnent un look majesteuse au petit bateau.
Je pense que vous devriez prendre un cours de couture, et demain reprendre Le Coureur .

Félicitations et bonne chance pour les prochains modèles.

J'espère que le mien sera bientôt navigant à côté du vôtre.

Salutations, amities.

Giorgio.

Bonsoir,

Je trouve votre travail très agréable à voir.
Il n'est pas obligé de mettre les voiles sur un bâtiment car cela risque, parfois, d'alourdir la réalisation.
Vous avez bien interprété les plans, sauf peut-être au niveau des espaces entre les lames du pont ? mais je n'ai pas analysé cette monographie.
Bien cordialement
Jacques

Oui, j'ai voulu faire le malin en faisant un simili calfatage avec du paper noir entre les lattes, mais j'ai galéré apres pour poncer ( impression de "sale") et le papier est effectivement trop épais..Mais sur un autre modèle, j'avais "coloré" la face latérale des lattes avec une encre qui avait déteint sous le vernis..

Bonjour.

Je continuai avec mon Le Coureur, je besoin d'un peu d'aide pour comprendre comment le gréement dormant est réalisé.

En particulier, je ne comprends pas, dont les câbles sont fourres et qui ne sont pas? Haubans et itagues, sûrement, mais dans leur ensemble ou seulement une partie?

Dans la planche V, de la mono, le detail B, capelage du grand mat, ne comprends pas comment, l'etai est fixee au mat.

Le cerle rouge de l'image explique ma domande.



De vous remercie déjà beaucoup pour vos réponses.

Amities.

Giorgio.

Je n'ai pas la monographie sous les yeux mais il semblerait que les haubans et les étais sont fourrés sur la longueur passée en noir sur le dessin.
L'étai est tenu sur le ton par un œil épissé passé par dessus la tête du mât et bridé au ras du ton.

Merci beaucoup Gerard.

Avec cela, je dois assez à faire.
Plus tard vinrent des photos.

Amitiés.

Giorgio.

Bonsoir,
Dans la monographie page 55:
L'étai et les pendeurs sont fourrés sur 6 à 8 pieds et la drisse sur toute sa longueur. On place au-dessus du blin inférieur un collier en cordage afin de ménager les manœuvres dormantes.

Merci Laurent.

Il peut sembler inhabituel, mais mon français est encore très limitée, et je peux à peine comprendre certaines choses, sous la monografie.

Il est donc clair que les haubans et le grand étai sont fourres à cette longueur, le reste pas. Je vais prendre le même critère pour la partie du palan au pied du mat de misaine.

J'ai lu la page 55, mais je comprends que le collier est, si un simple collier de cordage, appuyé sur le clacet, comment un oreiller, sur lequel le boucles des haubans sont placés, bien qu'il semble placé avant l'étai, ce qui est le contraire d'un grand navire, où les haubans sont placés avant.

Merci beaucoup pour votre aide.

Amities.  

Giorgio.

 a tous
petite question !!!  au sujet de l’étrave, je n'arrive pas trop a comprendre ou se termine la partie ( dessinée en rouge )



amicalement
Fred