Modèle au 1/36 par Gérard Chenivesse

Beau travail Gérard.

L'extrémité des logements à la lime je suppose ?

Bonsoir.

gérard 2 a écrit: ...Le fraisage est fait à la retourne ...

Un âne comme moi ignore cette expression, si tu pouvais me traduire ça serait sympa.
Ton sep de drisse est parfaitement réussi.

Pffft que c'est beau Gérard, une fois !

.. s'il vous plait !

Deux fois ??

au moins quatre!!!!

Cinq, avec l'annexe latérale

À partir de cinq c'est la brosse à reluire

Bonjour,
Michel, comme ça, il n'est pas nécessaire de noircir, et c'est plus rapide et plus vrai. Et quand on a l'ébène en 20 d'épais, il ne faut pas se priver

oui, 5, c'est bon
La fraise étant plus courte que l'épaisseur du Sep, il a fallu repérer les ponts haut et bas des 2 côtés, faire les fraisages d'un côté au maximum en ayant marqué les repères du vernier dans le sens des Y, et retourner la pièce en gardant la même face contre le mors fixe. Comme cela, même avec un décentrement des rainures, on retombe sur les mêmes endroits, ce qui fut le cas.
Le haut des lumière a été repris au ciseau (à vrai dire, juste l'entrée) ; le bas des lumière présente des arrondis de 0,7 (rayon de la fraise).
C'est vrai que l'ébène est un peu gras ; c'est bien pour faire le clouage, qui tient fort bien, malgré le raclage. Par contre, on a intérêt à balayer la sciure et les copeaux ; ça tache vite.
Gérard

Il faut vraiment avoir une table croisée précise. Tu as quel type de table Gérard ?

Cette fraiseuse est une vieille petite Emco 5, modifiée, avec une colonne de 60mm, noix de fixation-rotation refaite ainsi que la fixation sur le socle. La colonne d'origine (de 40mm) engendrait trop de vibrations pour le métal. Elle est en photo sur mon site, page atelier de fabrication. Sinon, rien de très spécial ; les jeux ont été réduits au minimum. Je n'ai une règle numérique que sur les X. Pour les Y, il faut toujours venir en position dans le même sens pour contrôler ses déplacements, et bloquer.
Mais toutes les tables croisées ont certainement les mêmes possibilités.
Gérard

Ok merci Gérard

Bonjour.
Merci Gérard pour l'explication détaillé du procédé.

gérard 2 a écrit:Bonjour,
Michel, comme ça, il n'est pas nécessaire de noircir, et c'est plus rapide et plus vrai. Et quand on a l'ébène en 20 d'épais, il ne faut pas se priver

Merci Gérard de la combine, c'est fait.
Cinq réas pour le grand sep et 4 pour le petit. du premier pont
J'ai des barreaux de 25x25 en ébène bien noir
Cela remplace le laiton avec moins de difficultés sur un Unimat 3 peu capacitif.

Les réas en ébène oui, mais les axes n'étaient pas en gaïac mais en métal

Pierre

Pas plus en laiton noirci ; je trouve que ça rend la couleur uniforme.
Moi, les axes sont coupés au ras du sep ; pas de goupilles et de platines.
Gérard

Moi aussi, axe laiton coupe au ras

Bonjour,
plutôt que de ne rien faire, je fais travailler les autres :
l'usinages des caillebotis. Cintrés avec une corde de 1 mm, des bords qui vont croissant en allant de l'avant au grand panneau.
Le pas, pour retomber sur les dimensions d'ouverture du plan : 1,94 mm, avec 1 mm d'épaisseur (valeur arrondie) pour les lattes. Fraise de 1,5 mm
En premier, l'usinage du bombé, dans le bon sens du fil du bois. Les "paliers" sont de l'ordre de quelques centièmes. Comme je me suis gardé 0,2 mm pour le ponçage, tout va bien.



Mon sous-traitant faisant de la poussière, son atelier est fermé, et en dépression.



L'usinage des encoches : 4 mm de profondeur pour pouvoir récupérer les barres après ponçage par dessous, 1,2 mm pour l'encastrement des lattes.



Tout ça par passes de 0,3 mm, l'usinage dans les 2 sens se faisant en même temps, pas d'arrachages et pas de "dents" qui sautent.
Sauf que là, la pièce va partir à la poubelle. Ca m'apprendra à compter les hauts et les bas.
Gérard

mon pauvre Gérard,si maintenant ton sous traitant est en dépression...

Bonjour,
ce n'est parce que je ne poste pas de photos que je ne fais rien ! et comme je ne poste pas non plus pour chaque clou posé ; sorti de 2 expos, voilà un peu où j'en suis.
Les caillebotis sont en voie d'achèvement, même si les clous en laiton de 0,3, par paquet de 4 à chaque croisement ne sont pas tous en place. Le passage à la tourmaline (au coton-tige suivi de l'essuyage ) se fera une fois que tout l'ensemble sera fini, les dessous, encore présents, enlevés par fraisage et ponçage.



[quote]

Le cloutage du pont est terminé, reste à finir le cloutage du vaigrage.
Le bout de rond en ramin a permis de faire le lit du beaupré,
les différents panneaux se mettent en place. Le panneau situé au dessus du four à pain n'est pas dans l'axe ; c'est comme ça sur le plan.




Les extrémités de la drosse ont été attachés à du fil de laiton, afin de permettre le grattage du pont en toute tranquilité.

Les percements des sabords de la deuxième batterie faits, ajustement des sommiers et seuillets, ces derniers fraisés avant la mise en place définitive.




J'y retourne
Gérard

Bonjour Gérard,
bel ajustage des sommiers de batterie.....j'ai pas réussi les miens comme toi...
alain p

Bonjour.
Il a bien progressé l'Artésien, toi et le robot avez bien bossé.

C'est un super travail !

Bonjour
Il avance bien, et toujours aussi parfait.
Je ne peux en dire autant, il faut que je reprenne les œuvres vives,et des clous on rouillés le découragement (passager) m’a un peu gagné.

Merci,
les clous en ébène ne rouillent pas
Gérard

beau travail Gérard !