Soleil Royal 1692

C'est du beau !!

Bravo Michel, c'est beau à voir

Bravo : très beau travail !

Patrick

Ça a de l'allure tout ça.

Bonjour,

Michel, tu es le grand bobo des beaux baux
Sur les preceintes, les chevilles sont toutes à tête d'orange ?

Nick

Eh ben, y a du taf là-dedans, et du beau taf qui plus est !!!

Orthodoxe ou pas, c'est de la belle ouvrage, Michel.

Michel, ta ténacité porte ses fruits: beau et unique.

C'est bien, seul reproche, laisser traîner des cordages un peu partout, des coups à se prendre les pieds dedans, j'attends de voir ça à Séné.

Pierre

duc de brabant a écrit:Bonjour,

Michel, tu es le grand bobo des beaux baux  
Sur les preceintes, les chevilles sont toutes à tête d'orange ?

Nick

Toutes, oui.
C'est vrai qu'un gros trois ponts est plein de baux, beaux faut voir, mais plein c'est sur. Et encore il y aura probablement une demi-dunette, donc encore des baux...excuses des barrots

rebonjour,

donc après le Barrot de Gaillard, on va se retrouver avec un gaillard de barrots....

comme d'habitude magnifique
alain

Pierre Rouanne a écrit:C'est bien, seul reproche, laisser traîner des cordages un peu partout, des coups à se prendre les pieds dedans, j'attends de voir ça à Séné.

Pierre

Pierre, faire l'idiot te vas bien, ne change pas. A Sene tu n'auras droit qu'à une visite, pas de revue de détails, peut-être un bon verre si tu est sage.

Bonsoir.
Joli travail, c'est un beau Soleil. Il n'y a plus que des baux (ou barrots) en un seul élément à faire donc plus simples.

Michel,

à la recherche d'une photo j'avais trouvé ce cliché d'un vaisseau hollandais dont le modèle date de 1651.
Les chevilles à tête ronde y sont  employés partout sous le deuxième pont:
Pour le soleil Royal tu as suivi quel instruction pourque tu les places seulement sur les preceintes ?

Chouette, plein de nouvelles photos, et des belles ! Je me régale ! Quel beau résultat !

C'est magnifique , imposant et grandiose ! Quelle jolie tonalité du bois .

Très beau modèle Michel, félicitation.

Isalbert

Bravo, Michel

duc de brabant a écrit:Michel,

à la recherche d'une photo j'avais trouvé ce cliché d'un vaisseau hollandais dont le modèle date de 1651.
Les chevilles à tête ronde y sont  employés partout sous le deuxième pont:
Pour le soleil Royal tu as suivi quel instruction pourque tu les places seulement sur les preceintes ?

J'ai repris ça sur la mono de JB de l'Ambitieux, vaisseau de la même époque.

Une référence datant de 1670. il est facile de voir que les clous des préceintes sont différents de ceux du bordage, les têtes sont beaucoup plus importantes.




Pierre

Bonjour,

Pierre, c'est bien cela qui m'a frappé dans les photos de Michel.
Les constructeurs français avaient une autre tradition que les hollandais pour les chevilles à tête ronde.
On l'aperçoit encore chez Vandevelde et autres peintres de marine du nord.

Je n'ai pas encore rencontrée une description contemporaine à ce sujet. (faute de temps de lecture)

Merci,

Nick

Dans le style "curiosités":
Pourquoi les manches des coins de mire sont-ils de plus en plus petits du canon de 36 à celui de 8 sans parler de ceux de 4 ?
Les mains des matelots sont-elles proportionnelles ?

Michel, c'est pour la même raison que les manches des tournevis diminuent avec l'âme de l'outil.

Je pense que Michel a raison de poser cette question car un canon n'a pas grand chose à voir avec de l'horlogerie et les mains des marins ,elles n'ont plus ,n'étaient pas des mains de femme.

tout doit être dessiné proportionnellement sans doute. si on regarde les chaloupes, elles sont dessinées sur le même plan, et réduites suivant les tailles de vaisseaux concernés. ainsi, la chaloupe de la Renommée au 48è a le même dessin que celle du 74 au 72è. facilité ?

Les embarcations, pour les formes surement puisque ce sont sensiblement les mêmes mais certainement pas pour les aménagements. Les distances entre les bancs et les membrures sont immuables et sont (normalement) adaptées à la taille de l'embarcation.
Pour les poignées, le poids du coin compte également car si on met une poignée d'un coin de 4 à un coin de 36, elle va vite se rompre en le manipulant. Et inversement, une poignée de 36 n'ira pas sur un coin de 4. C'est la main qui s'adapte (dans certaines limites évidement).