Soleil Royal 1692

Excellent !

Bonsoir.
L'ajour en bas à gauche droite est plus important que les autres... à refaire.

C'est vrai tu as raison, il faudra pour les suivants trouver l'équilibre entre ces différents dessins pour que ce soit plus symétrique. Mais on est dans le domaine du tout petit et le moindre décalage saute à l'œil. Désolé Pierre, je n'ai pas fait mieux. A voir le suivant, mais en attendant je vais reposer mes mirettes avec plus visible normalement.

Panneau mis en place, monogramme gravé

Bonjour.
Comment le panneau est-il maintenu, une feuillure?

Bonjour Pierre
Le panneau décoratif en buis est collé sur un panneau de poirier qui est encastré pil-poil dans l'ouverture et collé par quelques mini-points de cyano. Dans la réalité il faudrait effectivement une feuillure dans les montants, mais comme ces bouteilles, comme le rest, n'ont pas de plans précis de charpente je colle !
En fait comme c'est une structure fermée, c'est l'aspect externe qui m'importe.

Francis a raison, c'est de mieux en mieux! De mon côté c'est point mort total depuis Chateaulin... J'attends fin avril pour la reprise des travaux.

Il est très bien ce panneau. Quand on connait sa taille, on imagine qu'il est encore mieux en vrai.

Merci à tous, j'attaque les deux suivants en espérant être un peu plus précis, l'expérience aidant !

Question; dans la fausse fenêtre j'ai un décor un peu nu qui jure avec ce dernier panneau. Je pense habiller le cartouche haut et bas de fleurs. Que me conseillez-vous ?
Merci d'avance.

Je ne comprends plus par rapport au dessin de Berain, à moins que je n'ai dormi.



Pierre

Provocateur
C'est le jour de la mer et tu tenais à faire ta petite farce, Gamin

Je crains que ma question ne soit polluée par PR. Je la repose

Avec une petite photo, on comprendrait mieux le problème non ?

Oui bien sur, excusez moi .

Coquilles ?

Mais c'est bien sur !
Merci Gérard, je n'y avais pas pensé, c'est tout à fait le volume qu'il faut.

et tu peux en fabriquer quelques-unes, tu risques d'en avoir besoin d'ici la fin !

Excellent ! Le SR devenu Coquillier de la Rade dans sa renaissance modélistique !

Bonjour Eric
Oui, il en faut 4 à ce niveau, 4 autres au niveau supérieur, mais dans des tailles différentes. Travail pour des mini-gouges. De quoi se faire la main ! Pour l'instant je continue les panneaux que j'ai bien en tête.
Bon WE un chouïa mouillé, ici aussi ! Ce printemps tarde à s'affirmer.

Que de réflexions

Bravissimo, Michel

Merci Tiz, mais je viens de louper la première coquille. Trop petite et pas le bon profil. Il faut rater pour reussir

Par définition une coquille est un raté 

Pierre.

T'as raison mon pote, mais Audiard dans l'Arsenal n'est pas commun.

Michel Saunier a écrit:T'as raison mon pote, mais Audiard dans l'Arsenal n'est pas commun.

Michel,

Audiard n'a rien à voir la-dedans, c'est plutôt du langage de typographe, une faute d'impression ... et/ou une brioche que l'on consomme à Pâques, dans le Nord et que, dans les temps préhistoriques, on distibuait dans les établissements scolaires à cette occasion.

Une anecdote à propose de doubles coquilles, justement. J'étais alors tout jeune journaliste à La Voix du Nord, à la fin des années 60, la fabrication se faisait encore en typo, au plomb chaud, et un localier (journaliste d'une rédaction détachée) avait titré son papier 

"Distribution de coquilles au Lycée de Jeunes Filles de Lambersart" (la mixité n'avait pas encore cours, en ce temps-là).

Le linotypiste, distrait, avait tapé un "O", à la place du "Q". Le secrétaire de Rédaction, en relisant la morasse*, n'avait rien vu et l'édition à roulé comme ça. Je vous laisse deviner le chambard que cela à fait...

C'est rigoureusement authentique : le SR, c'était moi.


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* Morasse : une fois la page montée en plomb, le "metteur" (ouvrier typographe chargé de la mise en page sous les directives du journaliste chargé de l'édition : le secrétaire de Rédaction) encrait la forme avec un rouleau et de l'encre d'imprimerie. Puis il posait une feuille de papier journal vierge sur la forme et tapotait avec une large brosse à long manche. On obtenait ainsi une épreuve de la page, une morasse, plus ou moins lisible suivant le soin apporté à sa confection. Le secrétaire de Rédaction relisait comme il pouvait, donnait alors son BAT (Bon à tirer) et la "forme" en plomb, enchâssée dans son cadre en acier, partait en fabrication sur un lourd chariot poussé par Marcel.  Je ne sais pas pourquoi, mais la tradition voulait que tous les ouvriers-pousseurs s'appelassent "Marcel" quel que soit leur vrai prénom. 

Drôle dépoque où le marbre (la table de montage) était en acier, les "couillards" des filets de séparation, les photos des "zinc", les "correcteurs" et les "corrigeurs" ne faisaient pas le même boulot, ou le "prote" était le tout-puissant chef d'atelier, les "clicheurs", les "metteurs", les "linos" tenaient le haut du pavé de l'aristocratie ouvrière et les "Alla" n'étaient pas "akbar" mais plutôt au bar, puisqu'il s'agissait ces pots improvisés et quasi-quotidiens, pris sur le marbre qui venaient rompre le rythme infernal du montage.

Mais, bon, je m'égare et suis, une fois de plus, hors sujet.

Bah, ceci n'est pas une pollution dès lors qu'elle nous rend moins ignorants. Merci Alain mais recommence pas trop souvent