-- Discussion générale --

I primi grossi vascelli in legno avevano un problema statico da risolvere: l'inarcamento della chiglia verso l'alto causato dalla differenza di spinta idrostatica tra i quartieri mediani e i quartieri prodieri e poppieri dello scafo, quindi panciuto al centro e affilato alle estremità (nelle navi più antiche i volumi erano maggiori a centro nave mentre si tendeva a sfinare prua e poppa e questo incideva sui fasciami che dovevano restringersi parecchio).
Si iniziò con l'irrigidire l'accostolato con cinte fortemente arcuate in senso opposto (con la concavità verso l'alto), alla deformazione cui andava soggetta la chiglia, e per evitare l’interruzione dei corsi degli incintoni si provò di tutto, anche i famosi ponti interrotti delle prime decadi del 1600.
Gli incintoni quindi erano arcuati perché bisognava aumentare la lunghezza dei dritti e affinché scendesse il rapporto di rastremazione, per la particolare geometria dello scafo tutto.
Dall'inizio del secolo fino al temine della Marina velica lignea, la curvatura degli incintoni venne via via ridotta per ovviare a questi conflitti e i ponti si rettificarono in maniera più conveniente.  
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Les premiers grands navires en bois avaient un problème statique à résoudre: l'arc de la quille dû par la différence de pousse hydrostatique entre les couples maitresses et les couples de arrière et de l'avant, donc pansu au milieu et effilé aux extrémités (sur les navires plus anciens les volumes étaient plus élevés au milieu tandis que ils tiraient à proue et à poupe et cela grevait sur le bordage qui devait être très réduit).
La membrure fit fortifié avec des grosses préceintes courbés fortement en sens opposée (avec la concavité vers le haut), à la déformation de la quille, et afin d'éviter l'interruption des préceintes tout à été essayé, même les fameux ponts coupés des premières années du 1600.
Les préceintes étaient courbées, parce que il était nécessaire d'augmenter la longueur des bois droits et abaissé le rapport de diminution, à cause de la géométrie particulière de l’entière coque.
Depuis le début du siècle jusqu'à la fin de la marine à voile, la courbure des préceintes état progressivement réduite pour résoudre ces conflits et les ponts firent rectifier de façon plus appropriée. : Bonjour:

airon1970 a écrit:....

...fu sviluppato tenendo in considerazione il progetto di un vascello già esistente, se si quale? Grazie ancora per le delucidazioni
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Il fit développé en tenant compte du projet d'un navire existant déjà, si oui, lequel? Merci encore pour la clarification

Boudriot ha messo insieme i disegni di un vascello dell'epoca di un mastro napoletano, tale Blaise Pangalo e vi ha aggiunto i disegni originali di J. Berain della poppa di un Vascello chiamato Ambitieux, costruito a Rochefort da H. Mallet tra il 1691 e il 1692, La monografia quindi di fantasia si basa su due disegni originali e illustra un bastimento dell'epoca del Re Sole, Boudriot poi ha lasciato la polena leonina come dai disegni del Pangalo.
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Boudriot a recueilli les plans d'un navire de l'époque d'un maître napolitain, Blaise Pangalo et il a ajouté les dessins originaux de J. Berain, de l'arrière d'un navire appelé Ambitieux, construit à Rochefort par H. Mallet entre le 1691 et le 1692, la monographie, imaginaire, est basé sur deux dessins originaux et illustre un navire de l' époque du Roi Soleil, Boudriot a laissé la figure de proue de lion des dessins de Pangalo.

Comme l'a indiqué Michel Saunier, la coupure des préceintes est une caractéristique des navires de la fin du XVIIe siècle. Il existe de multiples dessins d'époque qui montrent ces dispositions.
Sur votre dessin, vous avez superposé deux navires ayant plus de cent années d'écart, il est utopique de comparer leur construction trop décalées dans le temps. Les préceintes plus tendues sont une évolution dans la conception des vaisseaux et on ne peut pas comparer les deux méthodes.
Les préceintes de L'Ambitieux telles quelles sont dessinées par JB sont tout à fait conformes à la façon de construire au XVIIe siècle.
Regardez dans la monographie aux pages 106-107, vous y verrez le dessin d'époque ayant servi à dessiner le plan de L'Ambitieux et les préceintes sont bien coupées par les sabords.

Grazie Riccardo e un ringraziamento ovviamente a Monsieur Delacroix.

Bonjour,

Qui pourrait me renseigner sur le cloutage des éléments des couples ( nombre et diametre? ) Pour le diametre, les éléments ne sont pas de la même épaisseur ...
Merci.

Bonjour,

Pour le nombre de chevilles (ou plutôt de goujons), c'est classiquement trois par écart et leur diamètre est indiqué dans la monographie.

Bonjour, je suis sur un modèle "kit" de l'Ambitieux le fabricant (Altaya) a représenté des galeries ouvertes. A priori ce n'était pas le cas en 1691 et d'ailleurs la mono de J.Boudriot, même s'il s'est inspiré d'un plan de 1680, montre une bouteille fermée. Cependant en regardant le dessin de Berain sur la vue arrière ils s'agit bien d'une galerie/balcon. (La vue de côté est toujours un peu délicate à interpréter). Est ce une vue d'artiste qui ne s'encombre pas de représenter le panneau de fermeture de la bouteille ou bien est ce plausible qu'il y ait eu encore des balcons à cette époque ?
Merci pour vos lumières !!


Pour mémoire:

Le dessin semble être précis... Il y a même l'ombre de la galerie sur les fenêtres du bas....

Pour ça le dessin est incontestable, mais ça me paraît étrange. Si l'Ambitieux a des bouteilles fermées malgré ce dessin ça remet en question tous les ombrages des dessins de poupe...

Un collègue d'un autre forum réalise l'Ambitieux par rapport à la monographie de jean Boudriot.
Une interrogation est apparue au sujet du canon placé à côté de l'ouverture de la manuelle, il semble bien proche. Je sais que le problème existe sur d'autres bâtiments plus petits, et que l'on peut faire pivoter l'affût et que la brague est raccourcie. Mais un grand bâtiment comme celui-ci est ce que l'on ne pouvait pas faire autrement ?


De plus sur la vue de profil on voit un garde-corps autour de cette ouverture, je me souviens pas avoir lu quelque chose à ce sujet. Mais plutôt que cette ouverture est recouverte de planche lorsque l'on utilise pas la manuelle.

Bonjour,

Et en plus d'être difficilement utilisable, ce canon ferme le passage vers les logements. Ce sabord n'est probablement pas armé ou bien il y a une grosse anomalie de conception.
Et comme l'auteur n'est plus là pour expliquer son choix...

Il existe une différence entre la vue en plan et la coupe : il n'y a pas de sabord dans l'alignement de la manuelle... À !oins que ce sabord soit rond ?

Regarde bien Francis, il y a un sabord :



Et en plus, il y a des courbes dans le passage. J'ai quelques doutes sur la présence de cette rambarde. BO donne de 5 à 6 pouces de largeur pour l'ouverture de la manuelle soit de 0.135 à 0.162 m. Sur L"Ambitieux, on a quasiment 0.50 m ce qui est beaucoup trop et implique en effet une protection avec rambarde. 
Avec, au pire, 16 cm d'ouverture, il n'est pas nécessaire de placer cette rambarde et on supprime ainsi tous les problèmes cités. 

Merci pour votre retour.

L'ouverture est plus faible sur le Fleuron et le Mercure aussi je crois.

G. Delacroix a écrit:Regarde bien Francis, il y a un sabord :

... rond comme je le supposais.