-- Discussion générale sur le Commerce de Marseille --

Excuses moi Francis, en effet je n'ai pas vu ton message....Je n'ai pas le réflexe de regarder en haut

J'y vais de ce pas

Voici ce que j'ai pu faire grâce à vos informations.  On peut faire mieux c certain. Mais sur l'ensemble du modèle ça passe bien

La réalisation n'est pas si aisée que ça

Bonjour à tous

J'ai une interrogation sur le diamètre des cordages. Cela concerne les cordages garnis.

La fonction essentielle du garnissage est bien de protéger et non de renforcer...Je suppose donc que les dimensions indiquées tant dans la monographie que dans l'ouvrage de J.BOUDRIOT s'entendent avant garnissage..!

Se pose alors la question de la dimension du cordage à utiliser pour le garnissage, qui je suppose sera proportionnelle au diamètre du cordage à garnir ?

Il n'y a d'ailleurs peut être pas de règle absolue...

Merci de vos suggestions

Bonjour,

Le diamètre des cordages sont en effet donnés sans la garniture.
Pour garnir les "gros" cordages les plus courants (haubans, étais, pendeurs, etc.), on utilise du bitord dont le diamètre est d'environ 6 mm (plus ou moins). Si le cordage à garnir est plus petit on utilise de la ligne ou du merlin (diamètre 2 à 3 mm environ). Ces dimensions sont évidement très variables suivant la fabrication.
Il n'y a pas de règle absolue rapportée dans les écrits d'époque ce qui laisse supposer une certaine latitude quant à la fabrication et à la pratique.

Ah oui 6 mm ce qui à l’échelle fait du 1.25 10 eme... c vraiment pas épais à tortiller... mais bon comme il n'y a pas réellement de règle ça donne un peu de latitude.

OK à voir.

Merci encore de l'info

Bonjour à tous

Galhaubans de hune

Dans son ouvrage (74 canons) Jean BOUDRIOT fait état de galhaubans "volants" manoeuvrables par un palan. I galhauban de chaque côté pour chacun des mats de hune.

Je me pose la question de savoir si ce dispositif existe aussi sur le 118.

Par ailleurs il précise que ces galhaubans sont entièrement garnis, mais ne dit pas que les autres (ordinaires) le sont aussi. Les dessins laissent supposer que non.

Bien à vous tous

Bonjour,

Il peut exister en effet des galhaubans volants sur les trois-ponts, un de chaque bord pour les mâts de hune. Etant placés à l'avant des porte-haubans et raidis par un palan, ils sont garnis car ils subissent le frottement des vergues quand on les hisse. Les galhaubans fixes qui ne le sont pas.

Merci

Bien à vous

Bonjour à tous et bonne année.

Aujourd'hui ma question concerne l'arrimage de l'étai de petit perroquet.

La monographie prévoit l'installation d'un palan à fouet...ok, donc une disposition particulière pour le 118, apparemment non prévue sur le 74, mais aussi un amarrage sur le "collier" d'étai du grand mat alors que sur le 74 Jean Boudriot parle du collier d’étai d'"artimon.

Certes, comme beaucoup d'autres sujets il ne s'agit que d'un détail qui finalement ne change pas grand chose au modèle, c plutôt une curiosité et je me rend compte aussi qu'il y a souvent plusieurs variantes.

Merci q même de vos avis

Bonjour Gérard,
Il y a quelque chose qui ne colle pas dans ta question : Boudriot écrit que l'amarrage de l'étai du mât de petit perroquet est fait sur le collier de l'étai du mât de misaine !
Que Gérard l'amarre sur celui du grand mât ne fait pas de différence fondamentale. Cela semble plus logique.

Bonjour Francis

Oui bien sûr que c le collier de l'étai de misaine, ma "langue" a fourché.

Cela étant je suis d'accord avec toi, je l'ai écrit d’ailleurs, cela n'a pas grande importance au final, mais ça m'a intéressé.

Bien à toi