-- Discussion générale sur Le Gros-Ventre --

G. Delacroix a écrit:Et bien rien de plus qu'il y a deux mois.
La logique voudrait que cette porte soit verticale. Avec les épaisseurs du vaigrage et du bordage, ça pourrait passer mais ce n'est qu'une hypothèse qui ne me satisferait qu'à moitié n'étant appuyée sur aucune source.

Bonsoir Gérard,

A-t-on une source qui indique que ces portes sont dans le plan de la muraille?

Et bien, les modèles quand on peut observer l'intérieur.

Sur les mâts de perroquet du G.V. ,juste au niveau de l' épaississement retenant le capelage des haubans,
il existe un rouet ( poulie ? ) à l'intérieur de cette petite saillie .
Y a t' il un ou deux rouets ?
A quoi sert 'il ?
Il n'y en a pas sur le V 74, et mes recherches sont vaines .
C'est dans ce genre de cas qu'il serait utile sur les monographie d' avoir un petit dessin supplémentaire.

D'autre part les caps de moutons du perroquet de fougue, au 1/48 éme sont trés petits, vous parait 'il
raisonnable de capeler les rides les reliant aux caps des haubans avant même la pose des haubans
eux mêmes; et de les laisser en attente ?
Comment faire ?

Merci d'avance .

Il existe en effet un rouet dans les noix des mâts de perroquet. Il est destiné au passage de l'itague de ces vergues.
Les explications détaillées sont dans la monographie, partie gréement, article sur les vergues de perroquet.

Excusez moi, je l'avais lu antérieurement, et je n'ai pas relu alors que je ne m'en rappelais plus .
Merci .
Par contre si l'un d' entre vous a déjà capelé les rides des caps de moutons avant d'installer les haubans
du perroquet de fougue qu'il me le fasse savoir .
Les trous des caps de mouton sont si petits que cela me parait difficile, une fois fixés, même avec un peu de colle sur
les rides .
De même pour les caps de galhaubans d' artimon .

Avec mes remerciements .

Quels que soient les haubans, galhaubans, et tout autre cordage mis en tension par des caps-de-mouton ou des moques, il convient tout d'abord d'en régler la longueur avant de les rider. le ridage peut être provisoire. La tension définitive des rides intervient alors que l'on est certain qu'aucune autre intervention ne détendra ces cordages.

Francis.

Bonsoir.
Voici les haubans du perroquet de fougue de mon GV au 1/48 (gréement en cours d'installation).

Merci à vous .
Bonnes vacances à tous .
Le G.V. attendra, et il attend souvent .

Les cerclages métalliques des bas mats de mon G.V. sont un peu épaisses, aussi j'envisage de les faire en bandes de cuivre
auto-collantes .
Toutefois il existe un risque de décollage ultérieur .
Avez vous une solution pour éviter ce problème ?
Sinon puis je ,sur ce modèle, faire des jumelles nettement plus longues et dans quelles proportions, afin de masquer
et tenir la jointure des cerclages qui se ferait alors derrière cette jumelle longue ?
Dans l'encyclopédie méthodique on parle d'une longueur du 1/4 du mat, voire beaucoup longue .
Avec mes remerciements .

Radiau, tu n'arrives pas à trouver du laiton à la bonne épaisseur ? Ça m'étonne !
Quand tu auras trouver, tu brases ton cerclage en superposant la lame de métal sur quelques millimètres puis tu affines la brasure en limant.
Une fois noirci, rien ne se verra.

Francis.

equinoxe91 a écrit:Radiau, tu n'arrives pas à trouver du laiton à la bonne épaisseur ? Ça m'étonne !

Tu vas en trouver à l'Octant, c'est sûr.

Bien !
Mais je trouvais qu'allonger les jumelles était une solution élégante .
J'aime bien l'alternance de liures et de cerclages . Prolonger nettement vers le bas les jumelles comme sur
la gabarre La Lionne de 1811 dans le T.1 des Modèles Historiques serait 'il un anachronisme car elles date de 1811 ;
Le Sans Pareil de 1757 qui est lui un trois ponts , a lui aussi des jumelles très longues .
Serait ce une erreur ?
Merci de vos avis .
Cordialement .

Si la mono du G.V. présente des jumelles courtes il vaut mieux faire comme cela Radiau.
Le G.V. est un navire bien défini et nommé, pas une gabare parmi d'autres, si tu portes des modifications il te faut changer le nom de la bestiole ou ne pas lui en donner.

Francis.

Merci de vos conseils, je vais donc acheter une plaque de cuivre adaptée .

Cordialement .

Bonjour,
pas cuivre, mais laiton, et le recuire.
Gérard

Le recuire ? Est ce qu'il faut passer ces bandes de laiton au chalumeau avant de les façonner ?
Combien de temps ?
Ou y a t'il un procédé plus adapté ?
Quel est l'intérêt ?

Le recuit du laiton est destiné à le rendre plus souple, pour le recuire il faut simplement le rougir (clair).

Pierre

Merci de ces précisions .

Bonjour, Gerard, je rencontre, souvent, quelque chose de beau, votre canot est très beau, et intéressant est la méthode de construction, bien sûr je vais adopter cette méthode, qui permet précises finition intérieure, avant de mettre les côtes, compliments

g.besson a écrit:

Pour rompre la monotonie, je démarre le canot du Gv:




Bonne soirée

Bonjour Matiz,

Cette méthode est celle de Gérard Chataignier, rendons à César ce qui appartient à César.

sans aucun doute, honneur à Chataigner, j'ai vu que aussi les Russes utilisent la pellicule sur la forme

pour la pellicule, je ne sais pas

Parfois, le traducteur joue avec les mots, un film transparent.....domopak

Bonsoir,

Sur le tableau arrière, doit-on déligner les lisses moulurées pour mettre en place les décors :

Bonsoir;

Moi je dirais OUI histoire que les feuilles et autres décors trouvent un bon appui.

ex:



Bruno

Il faut en effet "aplatir" les lisses en enlevant la mouluration de manière à plaquer le décor.