Le Commerce de Marseille au 1/72 par Francis Jonet

Pour les voiles non carguées, c'est environ 1/3 à 1/4 plus courtes, compte tenu de l'épaisseur du tissu qui est beaucoup trop importante par rapport à la réalité.
Gérard

C'est toujours impressionnant. Quel travail.

Jean-Jacques

Merci à vous.

Une image de la cage de protection de la bête, pas facile à manier vu son encombrement.
La fermeture est au sol, on en voit un bout à gauche de la photo, il me faut lui placer des poignées pour une mise en place plus tranquille.



Maintenant au boulot !
J'ai tout de même envie de glander un peu

Salut Francis,
Pour des bêtes de cette importance je préfère fabriquer des brancards
qui assurent une meilleure maîtrise de la gravité de l'ensemble,
à l'image des monstrances de procession.
C'est pas tous les jours non plus, trois fois dans ma vie !

Très pratique, surtout avec l'ouverture en façade. On voit souvent cela en cloche.

Il est solide le plastique ?

Quel est le but final de cette " cage" , ne penses-tu pas qu'un courant d'air compte tenu de sa surface et de sa relative légèreté ne la fasse basculer et soit à l'origine de gros dégâts ?

Pierre

Assez d’accord avec Pierre , cela fait un peu peur. Je verrais bien une petite fixation amovible à la base.

Pour répondre à chacun de vous...

1) Bien sûr André, je suis d'accord avec toi que le brancard serai plus aisé, mais l'encombrement de la chose et les dimensions de l'atelier ne permettent pas cette solution.

2) Daniel, ce serait évidemment pratique ainsi mais la hauteur du machin ne permet pas la solution en cloche, l'espace libre au-dessus ne fait que 42 cm.

3) Gérard, non ce plastique n'est pas solide du tout. La poussière n'est pas d'une grande densité en ce lieu.

4 et 5) Pierre et Jacques, il n'y aura pas de courant d'air dans cette pièce et en cas de tornade je baisse le rideau. Il est prévu des butoirs pour que cette jolie boîte ne glisse pas.

Quant à la manœuvre Michèle m'aide lors de la mise en place de la boîte, je le dépose au sol tout seul (pour le moment). J'aurais pu gagner 10 à 15 cm de hauteur mais j'ai préféré prendre de la marge pour les mâts de perroquets qui sont très fragiles.

Êtes-vous satisfais de ces précisions ?

Mes brancards ne prennent pas de place.
Ce sont deux barres qui se coulissent dans deux étriers
ou d'autres façons de faire aussi simples.

André,
Pourquoi veux tu faire simple quand on peut faire compliqué.

Pierre

Pour le transport il faut un 2,5 tonnes
Jean-Jacques

Désolé André, je n'ai pas pensé à ça    mais c'est encore permis;

Pierre, tu me fais de la peine

Jean-Jacques n'exagère pas, mon épouse n'est si forte que ça.

Ça fait un bout de temps que je n'ai rien publié.
Voici le travail en cours : une machine à garnir* les cordages :



Caractéristiques :
- copie conforme au principe de celle présentée par Jean-Jacques mais pas tout à fait ;
- il reste à fabriquer la poignée de commande avec possibilité de changement de côté (à l'étude) ;
- 43 cm utiles au garnissage (il me faudra garnir jusqu'à 1,80 m de longueur) ;
- bobines de départ et de réception en bois.

Comme le diamètre des ronds de laiton est supérieur à celui des roulements à billes, des engrenages et des bagues d'arrêt, j'ai dû le réduire. Et comme j'habite dans un endroit qui ressemble fortement aux WC de la gare de Perpignan (le trou du cul du Monde selon notre ami Salvatore Dali) pour trouver l'élément qui me manque toujours (les cinq sous pour faire vingt ronds) je dois parcourir 60 km aller/retour sans être certain d'obtenir l'objet tant convoité ; sans parler des délais de livraison des commandes passées sur le net. Ce qui m'amène à penser que je ne suis pas près de terminer le boulot. D'autant plus que ma jolie petite machine à corder est tombée en rade, ce qui place la mise à l'eau à une date digne de la livraison d'un EPR.

* je préfère ce mot à "fourrer" que je trouve moins noble pour ce digne travail.

Sauf que fourrer et corder ne veulent pas dire la même chose.
Enfin, ça dépend de ta tournure d'esprit au moment où tu vas corder.

Francis, autrefois si je ne me trompe?
Tu utilisais pour le 74, avec une légère modification, ta machine à corder. La capacité en longueur était certainement plus importante. Pourquoi passer à 43 cm. Histoire de tension?
Confort d’utilisation ? Ou plaisir de la bidouille?

Non Francis, Dali considérait la gare de Perpignan comme le centre du Monde.
Personnellement je ne considère pas "le trou du cul " qu'il soit du Monde ou de tout le monde comme "le centre du Monde". Bien évidemment je respecte le point de vue de chacun d'entre nous.
Bien à toi.

J-Pascal

André, je n'ose penser à ta pensée quand tu écrits cela.

Jacques, pour le 74 je garnissais le cordage sur toute sa longueur, quelle que soit cette longueur ; pas pratique du tout. Faire comme les autres me tente, ça prend moins de place.

Jean-Pascal, je me doute que les mots de Dali aient pu être détournés, mais je suis persuadé qu'ainsi sa pensée na pas été tellement déformée. Et ayant passé beaucoup de vacances à Perpignan dans la famille de mon épouse, j'ai toujours entendu le propos que je rapporte.

Je connais aussi la gare de perpignan comme le centre du monde.

D'ailleurs sur gogol tu tapes : "dali perpignan centre du monde"

Bernard

Mon père, Catalan de Prades, disait toujours (avec l'accent de Dali) "La gare de Perpignan, ma c'est le centre cossssmique de l'univers !"

Thierry

Bonjour,
Francis, quand on veut bricoler une nouvelle machine on essaye toujours d'y apporter le maximum d'inventivité,
        ben oui! tant qu'à faire!???
Mais souvent on ne crée que du superflu et parfois cela devient une usine à gaz, difficile à exploiter.
 C'est ce que j'avais fait il y a longtemps de cela, aujourd'hui je pense que le plus simple est le mieux.
J'ai le regret aussi d'avoir confectionné un ustensile trop court, mieux vaudrait faire le plus grand acceptable.

Il y a néanmoins deux choses qui je pense tiennent la route.

-l'une est le tambour derrière la pince qui absorbe la sur-longueur de fil avec dans l'axe de celle-ci,un ressort logé dans la partie aluminium
qui maintient une tension permanente.

- l'autre est dans la partie opposée: on peut y crocheter l’œil d'un cordage mais aussi avec la bride réglable, y pincer une poulie.

En ce qui concerne les WC de cette gare et de son appellation je n'ai rien inventé, je ne fais que répéter.

Jacques, pour ta machine je n'ai qu'une remarque : pourquoi faire simple alors qu'il est possible de compliquer la chose. C'est bête mais c'est pratique pour "embobiner" les autres.

Francis Jonet a écrit:

Jacques, pour ta machine je n'ai qu'une remarque : pourquoi faire simple alors qu'il est possible de compliquer la chose. C'est bête mais c'est pratique pour "embobiner" les autres.

c’est bien ce que j’ai dit plus haut,à part le fil il n’est question d’embobiner personne mais seulement de partager.

Jacques, j'espère que tu as compris mon propos ! je ne faisais qu'une généralité sur certaines attitudes humaines que l'on rencontre chez les gens qui se prennent au sérieux.

 

Ça à pris du temps mais tout vient à point :



La suite :

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Se sont les dernières images de l'année.